La dénutrition puise son origine dans des facteurs multiples : maladie, troubles de la mobilité, isolement social… Pas évidente à diagnostiquer, elle se traduit par une perte de poids entrainant
fatalement des conséquences sérieuses : faiblesse du système immunitaire ; perte de la force musculaire ; baisse de moral avec risque de dépression et maladies chroniques aggravées et perte d’autonomie.
Rappelons que la dénutrition et la sarcopénie -perte de masse musculaire- sont les deux risques majeurs liés au déséquilibre nutritionnel des personnes âgées. Dans la pratique, la dénutrition des ainés correspond à une diminution de ses apports alimentaires, susceptible de provoquer de multiples carences et un affaiblissement de la santé.
Dans ce contexte, on comprend que la dénutrition augmente le risque de mortalité (x 4 chez les anciens), quelles que soient les pathologies sous-jacentes (défaillances chroniques d’organes, troubles cognitifs, cancers, maladies cardiovasculaires, diabète de type 2…) et même chez les sujets en surpoids ou obèses. Par ailleurs, le risque de chutes, de fractures, d’hospitalisation, d’infections nosocomiales et de dépendance est également accru.
La sarcopénie résulte quant à elle d’une perte progressive et élevée de la masse, de la force et de la fonction musculaires au cours du vieillissement. Elle est associée à une altération des grandes fonctions vitales, à une fragilité, à une augmentation du risque infectieux, à un retard de cicatrisation, à une perte de qualité de vie et à l’entrée dans la dépendance. Et in fine, à une augmentation du risque de mortalité à court terme.
Afin de prévenir la dénutrition chez ces ainés en perte d’appétit, il convient -entre autre- d’enrichir leur alimentation pour leur permettre de couvrir leurs besoins nutritionnels. Enrichir, c’est accroître la densité nutritionnelle des plats sans augmenter, voire en réduisant, la taille des portions. Il existe pour cela des aliments préparés…
fatalement des conséquences sérieuses : faiblesse du système immunitaire ; perte de la force musculaire ; baisse de moral avec risque de dépression et maladies chroniques aggravées et perte d’autonomie.
Rappelons que la dénutrition et la sarcopénie -perte de masse musculaire- sont les deux risques majeurs liés au déséquilibre nutritionnel des personnes âgées. Dans la pratique, la dénutrition des ainés correspond à une diminution de ses apports alimentaires, susceptible de provoquer de multiples carences et un affaiblissement de la santé.
Dans ce contexte, on comprend que la dénutrition augmente le risque de mortalité (x 4 chez les anciens), quelles que soient les pathologies sous-jacentes (défaillances chroniques d’organes, troubles cognitifs, cancers, maladies cardiovasculaires, diabète de type 2…) et même chez les sujets en surpoids ou obèses. Par ailleurs, le risque de chutes, de fractures, d’hospitalisation, d’infections nosocomiales et de dépendance est également accru.
La sarcopénie résulte quant à elle d’une perte progressive et élevée de la masse, de la force et de la fonction musculaires au cours du vieillissement. Elle est associée à une altération des grandes fonctions vitales, à une fragilité, à une augmentation du risque infectieux, à un retard de cicatrisation, à une perte de qualité de vie et à l’entrée dans la dépendance. Et in fine, à une augmentation du risque de mortalité à court terme.
Afin de prévenir la dénutrition chez ces ainés en perte d’appétit, il convient -entre autre- d’enrichir leur alimentation pour leur permettre de couvrir leurs besoins nutritionnels. Enrichir, c’est accroître la densité nutritionnelle des plats sans augmenter, voire en réduisant, la taille des portions. Il existe pour cela des aliments préparés…