Cette gigantesque étude démarrée en 2010, intitulée Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV) vise donc à mieux comprendre le processus de vieillissement des Canadiens en analysant et en étudiant leur avancée en âge au cours des vingt prochaines années… Ainsi, les deux prochaines décennies devraient permettre d’en savoir un peu plus sur le développement des maladies, sur les conséquences d’une vie saine et sportive, sur les relations sociales des ainés, etc. Bref, devrait largement améliorer les connaissances des scientifiques sur les divers mécanismes du vieillissement et sur les comportements des plus de 45 ans dans tous les domaines du quotidien !
Comme le souligne le Dr Christina Wolfson de l’Université McGill : « notre étude se penche sur les aspects sociaux du vieillissement ainsi que sur l’apparition de la maladie et de l’invalidité. Elle fournira une source importante de données, de mesures physiques et d’échantillons biologiques qui seront utilisés par des chercheurs à travers le pays dans des projets contribuant à améliorer la santé des Canadiens. »
Pour Christiane Giroux, l’une des femmes (de Montréal) participantes à cette grande enquête, ce projet a été l’occasion de découvrir une véritable mine d’information sur le vieillissement. « J’ai eu divers problèmes de santé et c’est un peu ma façon de donner aux futures générations. C’est rassurant de savoir que l’on s’intéresse à améliorer la santé de la population vieillissante ».
De son côté, le Dr Hélène Payette, chercheuse participant à cette grande enquête, indique : « le processus de vieillissement est tellement complexe et hétérogène d’une personne à l’autre qu’on a besoin de ces grandes études avec un grand nombre de participants pour pouvoir explorer toutes les questions relatives à l’avancée en âge. « C’est un legs qu’on a voulu faire à tous les scientifiques et spécialistes du milieu de la recherche intéressés par le vieillissement ».
A noter que les résultats seront accessibles à tous les chercheurs qui pourront accéder aux données.
Comme le souligne le Dr Christina Wolfson de l’Université McGill : « notre étude se penche sur les aspects sociaux du vieillissement ainsi que sur l’apparition de la maladie et de l’invalidité. Elle fournira une source importante de données, de mesures physiques et d’échantillons biologiques qui seront utilisés par des chercheurs à travers le pays dans des projets contribuant à améliorer la santé des Canadiens. »
Pour Christiane Giroux, l’une des femmes (de Montréal) participantes à cette grande enquête, ce projet a été l’occasion de découvrir une véritable mine d’information sur le vieillissement. « J’ai eu divers problèmes de santé et c’est un peu ma façon de donner aux futures générations. C’est rassurant de savoir que l’on s’intéresse à améliorer la santé de la population vieillissante ».
De son côté, le Dr Hélène Payette, chercheuse participant à cette grande enquête, indique : « le processus de vieillissement est tellement complexe et hétérogène d’une personne à l’autre qu’on a besoin de ces grandes études avec un grand nombre de participants pour pouvoir explorer toutes les questions relatives à l’avancée en âge. « C’est un legs qu’on a voulu faire à tous les scientifiques et spécialistes du milieu de la recherche intéressés par le vieillissement ».
A noter que les résultats seront accessibles à tous les chercheurs qui pourront accéder aux données.