Chaque année, le cancer colorectal touche plus de 42.000 nouvelles personnes en France : 23.200 hommes et 18.900 femmes.
Il s’agit donc du troisième cancer le plus fréquent mais aussi, rappelons-le, du deuxième cancer le plus meurtrier, avec plus de 17.500 décès par an.
Pourtant, détecté précocement, le cancer colorectal se guérit dans 90% des cas. De fait, un dépistage précoce permet d’identifier la maladie à un stade peu évolué, voire d’éviter un cancer en détectant des polypes ou adénomes, avant qu’ils ne dégénèrent. Pour faire court : plus un cancer colorectal est détecté tôt, moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont importantes !
Face à cette réalité, l’Institut national du cancer (INCa) et ses partenaires* poursuit sa mobilisation et relancera à l’occasion de Mars Bleu un dispositif d’information. Son but ? Rappeler la gravité de ce cancer encore trop meurtrier et l’importance de sa détection précoce !
Cette année, l’objectif est également d’inciter les femmes et les hommes, dès 50 ans, ou les personnes présentant un risque particulier, à parler de ce sujet avec leur médecin traitant. Il s’agit de leur faire connaître les informations clés (antécédents familiaux et personnels, signes d’alertes…) à communiquer à leur médecin afin que ce dernier puisse identifier leur niveau de risque et les orienter vers la meilleure stratégie de dépistage ou de surveillance.
- Pour 80% des personnes âgées de 50 à 74 ans qui ne présentent pas de risques particuliers, un programme national de dépistage est proposé depuis 2009. En tout, 17 millions de personnes sont concernées par ce programme. Elles sont invitées à réaliser un test de dépistage indolore, à faire chez soi et entièrement pris en charge par l’Assurance Maladie. Pourtant, aujourd’hui, seules 32% d’entre elles réalisent le test. Une situation qui justifie de poursuivre l’information et la mobilisation.
- Pour les personnes présentant un risque élevé ou très élevé et qui ne sont donc pas concernées par le programme de dépistage, leur médecin généraliste leur proposera un suivi adapté à leur situation personnelle.
*en partenariat avec le ministère des Affaires sociales et de la Santé, l’Assurance Maladie, le RSI et la MSA.
Il s’agit donc du troisième cancer le plus fréquent mais aussi, rappelons-le, du deuxième cancer le plus meurtrier, avec plus de 17.500 décès par an.
Pourtant, détecté précocement, le cancer colorectal se guérit dans 90% des cas. De fait, un dépistage précoce permet d’identifier la maladie à un stade peu évolué, voire d’éviter un cancer en détectant des polypes ou adénomes, avant qu’ils ne dégénèrent. Pour faire court : plus un cancer colorectal est détecté tôt, moins les traitements sont lourds et plus les chances de guérison sont importantes !
Face à cette réalité, l’Institut national du cancer (INCa) et ses partenaires* poursuit sa mobilisation et relancera à l’occasion de Mars Bleu un dispositif d’information. Son but ? Rappeler la gravité de ce cancer encore trop meurtrier et l’importance de sa détection précoce !
Cette année, l’objectif est également d’inciter les femmes et les hommes, dès 50 ans, ou les personnes présentant un risque particulier, à parler de ce sujet avec leur médecin traitant. Il s’agit de leur faire connaître les informations clés (antécédents familiaux et personnels, signes d’alertes…) à communiquer à leur médecin afin que ce dernier puisse identifier leur niveau de risque et les orienter vers la meilleure stratégie de dépistage ou de surveillance.
- Pour 80% des personnes âgées de 50 à 74 ans qui ne présentent pas de risques particuliers, un programme national de dépistage est proposé depuis 2009. En tout, 17 millions de personnes sont concernées par ce programme. Elles sont invitées à réaliser un test de dépistage indolore, à faire chez soi et entièrement pris en charge par l’Assurance Maladie. Pourtant, aujourd’hui, seules 32% d’entre elles réalisent le test. Une situation qui justifie de poursuivre l’information et la mobilisation.
- Pour les personnes présentant un risque élevé ou très élevé et qui ne sont donc pas concernées par le programme de dépistage, leur médecin généraliste leur proposera un suivi adapté à leur situation personnelle.
*en partenariat avec le ministère des Affaires sociales et de la Santé, l’Assurance Maladie, le RSI et la MSA.