
Après quatre décennies de vie commune, deux messieurs, George et Ben décident de passer devant monsieur le maire. Malheureusement, au retour de leur voyage de noces, George, maitre de musique dans une paroisse, se fait subitement licencier. Du jour au lendemain, le couple n'est plus en mesure de rembourser le prêt de son appartement new yorkais. Contraints de vendre et déménager, ils vont devoir compter sur l'aide de leur famille et de leurs amis. Une nouvelle vie les éloignant l'un de l'autre, s'impose alors dans leur quotidien.
Comme l’indique une récente critique du Figaro, « le film d’Ira Sachs construit peu à peu un édifice émotionnel qui en dit bien plus long qu’un discours militant. Il parle des préjugés qui pèsent encore sur les couples de même sexe et, plus universellement, du sens d’une vie commune et de la manière dont l’amour s’inscrit dans le temps et l’espace partagés. Déroulant un fil ténu, cette réflexion humaniste prend toute sa force dans un dernier quart d’heure décisif, limpide et tout à fait bouleversant ».
De son côté, l’hebdomadaire Les Inrocks, indique : « un mélo pudique baigné de comédie. Un film triste, souvent drôle, drôle comme les films de Woody Allen et donc aussi triste qu’eux. (...) Une mise en scène élégante, humaniste et classieuse ».
Comme l’indique une récente critique du Figaro, « le film d’Ira Sachs construit peu à peu un édifice émotionnel qui en dit bien plus long qu’un discours militant. Il parle des préjugés qui pèsent encore sur les couples de même sexe et, plus universellement, du sens d’une vie commune et de la manière dont l’amour s’inscrit dans le temps et l’espace partagés. Déroulant un fil ténu, cette réflexion humaniste prend toute sa force dans un dernier quart d’heure décisif, limpide et tout à fait bouleversant ».
De son côté, l’hebdomadaire Les Inrocks, indique : « un mélo pudique baigné de comédie. Un film triste, souvent drôle, drôle comme les films de Woody Allen et donc aussi triste qu’eux. (...) Une mise en scène élégante, humaniste et classieuse ».