Selon Emmanuelle Guillon, demain, « l’âge médian de la population mondiale passera de 26 ans aujourd’hui à 46 ans d’ici 2050 ; et cette vérité démographique va complètement changer les représentations de la beauté. Jusqu’ici, nous avions un idéal de jeunesse. Mais à 30 ou 40 ans déjà, les femmes ont de plus en plus de mal à s’y conformer, d’où le succès de la chirurgie esthétique et l’apparition des phénomènes comme l’anorexie de la quarantaine. Dans vingt ans, ce ne sera plus tenable ! Notre idéal s’incarnera dans un modèle différent, fondé sur les valeurs de la maturité. Il deviendra presque honteux d’être trop lisse : l’idée sera d’afficher les « bons signes de l’âge ». De montrer ses rides, à condition qu’elles soient le plus belles possibles ».
Et la spécialiste de la communication d’ajouter : « la femme mûre sera bien plus présente dans les publicités. Elle ne vantera plus seulement des crèmes antirides, mais aussi des rouges à lèvres ; et on gérera son capital beauté, comme aujourd’hui son capital solaire ».
Et la patronne de Publicis 133 de conclure : « le diktat du « vieillir moins » s’effacera devant celui du « vieillir bien ». Mais nous n’en serons pas plus libres pour autant… ».
Et la spécialiste de la communication d’ajouter : « la femme mûre sera bien plus présente dans les publicités. Elle ne vantera plus seulement des crèmes antirides, mais aussi des rouges à lèvres ; et on gérera son capital beauté, comme aujourd’hui son capital solaire ».
Et la patronne de Publicis 133 de conclure : « le diktat du « vieillir moins » s’effacera devant celui du « vieillir bien ». Mais nous n’en serons pas plus libres pour autant… ».