Le cancer du sein est le premier cancer féminin et la première cause de décès par cancer chez la femme.
Classiquement, les décisions thérapeutiques sont réalisées à partir de critères usuels tels que l’âge de la patiente, la taille de la tumeur et le grade.
Aujourd’hui, des données montrent que les tests génomiques peuvent fournir des informations supplémentaires concernant le risque de récidive et la probabilité d’effets bénéfiques d’une chimiothérapie. La possibilité de déterminer par un test la signature génomique de chaque tumeur ouvre la voie à un traitement personnalisé basé sur la biologie tumorale individuelle de chaque patiente et permet d’envisager une prise en charge encore plus adaptée.
Epargner la lourdeur d’une chimiothérapie chez certaines femmes, c’est possible !
Seuls 4% des femmes ayant un cancer du sein précoce invasif tirent un bénéfice de la chimiothérapie. Aujourd’hui, les tests génomiques constituent une révolution dans la prise en charge de certains types de cancer du sein en particulier dans la décision par le médecin et par la patiente d’instaurer ou non une chimiothérapie. Epargner la lourdeur d’un traitement et ses conséquences c’est aujourd’hui possible. Quelle femme n’aurait pas envie de ne pas subir le stress des rendez-vous, la perte de cheveux, les vomissements, la fatigue extrême… Pour elle et pour son entourage.
Parmi les tests existants, le comité Ethique et Cancer reconnaît que « Oncotype DX est le plus avancé : il permet d'éviter 20 à 25% des chimiothérapies environ » (Avis du Comité Ethique et Cancer-15 janvier 2013). De plus, plusieurs études réalisées dans différents pays, y compris en France, montrent qu’Oncotype DX permet de modifier 30% en moyenne des décisions thérapeutiques chez les patientes ayant un cancer du sein invasif.
Les médecins le réclament pour une décision éclairée
Créé par le laboratoire américain Genomic Health, le test Oncotype DX est un test génomique. Il quantifie la probabilité de récidive (valeur pronostique) pour des patientes atteintes de certains cancers du sein invasif nouvellement diagnostiqués, de stade précoce, hormonodépendants, sans envahissement ganglionnaire et évalue le bénéfice anticipé de la chimiothérapie après la chirurgie (valeur prédictive).
Avec ce test d’expression multigénique, les femmes ayant un score de récidive faible peuvent se voir épargner la lourdeur d'une chimiothérapie dont elles ne tireraient qu’un bénéfice quasiment nul tandis que celles ayant un score élevé ont une forte probabilité d’obtenir des effets bénéfiques d’une chimiothérapie. A ce jour, dans le cancer du sein, plus de 350 000 tests Oncotype DX ont été demandés par plus de 19 000 médecins dans 70 pays.
Préconisé par les plus hautes institutions internationales
14 études cliniques publiées dans des revues scientifiques internationales de renom démontrent sur des milliers de patientes la valeur et l’acceptation d’Oncotype DX, confirment sa validation, sa justesse et sa précision et mettent en lumière son impact au niveau mondial, pour le traitement du cancer du sein invasif.
Le test est aujourd’hui intégré dans les recommandations du traitement du cancer du sein de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) et du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) pour guider les décisions de traitement par chimiothérapie chez les patientes atteintes de cancer du sein, sans atteinte ganglionnaire, à récepteurs d’oestrogène positifs.
Sans compter les économies de santé…
L’Irlande est l’un des premiers pays d’Europe à rembourser le test (autres pays : Grèce, Espagne). Une étude analysant, dans la « vraie vie », l’impact sur le budget associé à l’utilisation du test Oncotype DX auprès de 342 patientes en Irlande, pays dans lequel le test est remboursé depuis le premier Octobre 2011 pour les patientes à des stades précoces d’un cancer du sein invasif aux récepteurs à l’oestrogène positifs, HER2 négatif, a permis une économie estimée à 856 440 euros pour le système de santé publique irlandais (Health Service Executive) sur seulement un an. L’Irlande, rappelons-le, compte 4,6 millions d’habitants.
Le coût de la chimiothérapie pour la sécurité sociale est estimé à plus de 13,500 euros. Une étude médico-économique française publiée en fin d’année 2012 dans le Bulletin du cancer, renforce pour notre pays l’évidence issue de plus de 20 études mettant en exergue la valeur économique du test à travers différents systèmes de santé.
Quand les femmes auront-elles accès au test en France ? Une étude française estime que l’utilisation du test Oncotype DX dans la pratique clinique pourrait permettre d’épargner plus de 5 millions d’euros par an à la Sécurité sociale en évitant une chimiothérapie qui ne serait pas nécessaire chez certaines patientes. Ces résultats soulignent l’économie potentielle significative que le test pourrait permettre s’il était remboursé en France.
Pour obtenir des renseignements sur les tests Oncotype DX, consulte les site www.mybreastcancertreatment.org
Classiquement, les décisions thérapeutiques sont réalisées à partir de critères usuels tels que l’âge de la patiente, la taille de la tumeur et le grade.
Aujourd’hui, des données montrent que les tests génomiques peuvent fournir des informations supplémentaires concernant le risque de récidive et la probabilité d’effets bénéfiques d’une chimiothérapie. La possibilité de déterminer par un test la signature génomique de chaque tumeur ouvre la voie à un traitement personnalisé basé sur la biologie tumorale individuelle de chaque patiente et permet d’envisager une prise en charge encore plus adaptée.
Epargner la lourdeur d’une chimiothérapie chez certaines femmes, c’est possible !
Seuls 4% des femmes ayant un cancer du sein précoce invasif tirent un bénéfice de la chimiothérapie. Aujourd’hui, les tests génomiques constituent une révolution dans la prise en charge de certains types de cancer du sein en particulier dans la décision par le médecin et par la patiente d’instaurer ou non une chimiothérapie. Epargner la lourdeur d’un traitement et ses conséquences c’est aujourd’hui possible. Quelle femme n’aurait pas envie de ne pas subir le stress des rendez-vous, la perte de cheveux, les vomissements, la fatigue extrême… Pour elle et pour son entourage.
Parmi les tests existants, le comité Ethique et Cancer reconnaît que « Oncotype DX est le plus avancé : il permet d'éviter 20 à 25% des chimiothérapies environ » (Avis du Comité Ethique et Cancer-15 janvier 2013). De plus, plusieurs études réalisées dans différents pays, y compris en France, montrent qu’Oncotype DX permet de modifier 30% en moyenne des décisions thérapeutiques chez les patientes ayant un cancer du sein invasif.
Les médecins le réclament pour une décision éclairée
Créé par le laboratoire américain Genomic Health, le test Oncotype DX est un test génomique. Il quantifie la probabilité de récidive (valeur pronostique) pour des patientes atteintes de certains cancers du sein invasif nouvellement diagnostiqués, de stade précoce, hormonodépendants, sans envahissement ganglionnaire et évalue le bénéfice anticipé de la chimiothérapie après la chirurgie (valeur prédictive).
Avec ce test d’expression multigénique, les femmes ayant un score de récidive faible peuvent se voir épargner la lourdeur d'une chimiothérapie dont elles ne tireraient qu’un bénéfice quasiment nul tandis que celles ayant un score élevé ont une forte probabilité d’obtenir des effets bénéfiques d’une chimiothérapie. A ce jour, dans le cancer du sein, plus de 350 000 tests Oncotype DX ont été demandés par plus de 19 000 médecins dans 70 pays.
Préconisé par les plus hautes institutions internationales
14 études cliniques publiées dans des revues scientifiques internationales de renom démontrent sur des milliers de patientes la valeur et l’acceptation d’Oncotype DX, confirment sa validation, sa justesse et sa précision et mettent en lumière son impact au niveau mondial, pour le traitement du cancer du sein invasif.
Le test est aujourd’hui intégré dans les recommandations du traitement du cancer du sein de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) et du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) pour guider les décisions de traitement par chimiothérapie chez les patientes atteintes de cancer du sein, sans atteinte ganglionnaire, à récepteurs d’oestrogène positifs.
Sans compter les économies de santé…
L’Irlande est l’un des premiers pays d’Europe à rembourser le test (autres pays : Grèce, Espagne). Une étude analysant, dans la « vraie vie », l’impact sur le budget associé à l’utilisation du test Oncotype DX auprès de 342 patientes en Irlande, pays dans lequel le test est remboursé depuis le premier Octobre 2011 pour les patientes à des stades précoces d’un cancer du sein invasif aux récepteurs à l’oestrogène positifs, HER2 négatif, a permis une économie estimée à 856 440 euros pour le système de santé publique irlandais (Health Service Executive) sur seulement un an. L’Irlande, rappelons-le, compte 4,6 millions d’habitants.
Le coût de la chimiothérapie pour la sécurité sociale est estimé à plus de 13,500 euros. Une étude médico-économique française publiée en fin d’année 2012 dans le Bulletin du cancer, renforce pour notre pays l’évidence issue de plus de 20 études mettant en exergue la valeur économique du test à travers différents systèmes de santé.
Quand les femmes auront-elles accès au test en France ? Une étude française estime que l’utilisation du test Oncotype DX dans la pratique clinique pourrait permettre d’épargner plus de 5 millions d’euros par an à la Sécurité sociale en évitant une chimiothérapie qui ne serait pas nécessaire chez certaines patientes. Ces résultats soulignent l’économie potentielle significative que le test pourrait permettre s’il était remboursé en France.
Pour obtenir des renseignements sur les tests Oncotype DX, consulte les site www.mybreastcancertreatment.org