Boire un petit coup c’est agréable ! Et ce serait même bon pour le cœur, à condition toutefois, que la consommation reste modérée…
Pourtant, une nouvelle étude présentée en avril 2008 à San Diego en Californie, réalisée auprès de 184.000 femmes ménopausées dont la consommation d’alcool a été suivie pendant sept ans, semble démontrer que même en faible quantité, l’alcool peut entrainer une augmentation significative du risque de cancer du sein.
Ainsi, selon les chercheurs en charge de cette étude, de moins d'un verre à deux verres par jour, l'augmentation du risque de cancer du sein chez ces femmes ménopausées passerait de 7% à 32%. Et pour, les amatrices de vin ou d’apéro consommant trois verres ou plus par jour, le risque augmenterait alors de 51% !
« Peu importe le type d’alcool consommé, le risque est évident » souligne Jasmine Lew, chercheuse à l’Institut National américain contre le Cancer. Selon son étude, la majorité des femmes (70%) pour lesquelles un cancer du sein a été diagnostiqué, avaient développé des tumeurs à récepteurs d’œstrogène et de progestérone positifs. En effet, dans certaines formes de cancer du sein, les cellules malignes sont dotées de récepteurs qui les rendent plus sensibles aux hormones telles que l’œstrogène.
Toutefois, même si cette étude semble bien établir une association entre consommation d’alcool et cancer du sein, les chercheurs restent prudents et soulignent que des recherches supplémentaires seront nécessaires pour établir une relation de cause à effet absolue. En attendant, et bien que ces résultats constituent une réelle avancée scientifique, il est trop tôt pour lancer un message de santé publique…
Mais dans tous les cas, cela confirme une fois de plus, que l’alcool doit être consommé avec modération !
Pourtant, une nouvelle étude présentée en avril 2008 à San Diego en Californie, réalisée auprès de 184.000 femmes ménopausées dont la consommation d’alcool a été suivie pendant sept ans, semble démontrer que même en faible quantité, l’alcool peut entrainer une augmentation significative du risque de cancer du sein.
Ainsi, selon les chercheurs en charge de cette étude, de moins d'un verre à deux verres par jour, l'augmentation du risque de cancer du sein chez ces femmes ménopausées passerait de 7% à 32%. Et pour, les amatrices de vin ou d’apéro consommant trois verres ou plus par jour, le risque augmenterait alors de 51% !
« Peu importe le type d’alcool consommé, le risque est évident » souligne Jasmine Lew, chercheuse à l’Institut National américain contre le Cancer. Selon son étude, la majorité des femmes (70%) pour lesquelles un cancer du sein a été diagnostiqué, avaient développé des tumeurs à récepteurs d’œstrogène et de progestérone positifs. En effet, dans certaines formes de cancer du sein, les cellules malignes sont dotées de récepteurs qui les rendent plus sensibles aux hormones telles que l’œstrogène.
Toutefois, même si cette étude semble bien établir une association entre consommation d’alcool et cancer du sein, les chercheurs restent prudents et soulignent que des recherches supplémentaires seront nécessaires pour établir une relation de cause à effet absolue. En attendant, et bien que ces résultats constituent une réelle avancée scientifique, il est trop tôt pour lancer un message de santé publique…
Mais dans tous les cas, cela confirme une fois de plus, que l’alcool doit être consommé avec modération !