Une réponse administrative a ainsi été adressée à l’intéressé le 25 février, dont il n’a malheureusement pas pris connaissance avant de passer à l’acte.
Elle reprenait qu’il appartient au seul médecin, en toutes circonstances, de s’efforcer de soulager les souffrances du malade par des moyens appropriés à son état et de l’assister moralement. C’est ainsi qu’un médecin n’a pas le droit de provoquer délibérément la mort.
Conscient que de rares situations insoutenables interrogent la société, le président de la République s'est engagé dans ses propositions à ce que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions précises et strictes, à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité ».
Aussi, a-t-il missionné sur ce douloureux sujet, la commission de réflexion sur la fin de vie. Celle-ci, coordonnée par le Professeur Sicard, lui a remis son rapport le 18 décembre 2012.
Le suicide assisté pour de rares situations où la loi Léonetti ne permet pas de répondre y est évoqué ; le comité national d'éthique a été saisi pour avis.
Concernant ce tragique événement, l'enquête précisera les circonstances et les motivations de cet acte désespéré.
Elle reprenait qu’il appartient au seul médecin, en toutes circonstances, de s’efforcer de soulager les souffrances du malade par des moyens appropriés à son état et de l’assister moralement. C’est ainsi qu’un médecin n’a pas le droit de provoquer délibérément la mort.
Conscient que de rares situations insoutenables interrogent la société, le président de la République s'est engagé dans ses propositions à ce que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions précises et strictes, à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité ».
Aussi, a-t-il missionné sur ce douloureux sujet, la commission de réflexion sur la fin de vie. Celle-ci, coordonnée par le Professeur Sicard, lui a remis son rapport le 18 décembre 2012.
Le suicide assisté pour de rares situations où la loi Léonetti ne permet pas de répondre y est évoqué ; le comité national d'éthique a été saisi pour avis.
Concernant ce tragique événement, l'enquête précisera les circonstances et les motivations de cet acte désespéré.