
Le décès de cette mère en 2013 a déclenché la rédaction de ce livre. L’auteur s’aperçoit alors qu’elle n’a conservé pratiquement aucun souvenir de son enfance (le pull qui gratte, la voiture du père, les premières lectures, etc.). Mais elle a également tout oublié de ses vingt ans ! Heureusement, cette mère institutrice qui vient de disparaitre, a écrit un journal dans lequel elle raconte ce qu’elles ont vécu ensemble, avec et sans ce père, prof de lettres pas toujours tendre avec sa femme...
Sa mémoire c’était sa mère. « Ma mère, c’était après moi le déluge. J’entasse au grenier un bordel monstre, tu te taperas un jour le remake du nettoyage des écuries d’Augias, mais je ne serai pas là pour le voir. » Avec la disparition de cette mère, l’auteur va donc replonger dans le passé grâce au récit maternel. Photos, lettres, enregistrements vont lui permettre de combler ses trous de mémoire et par la même, de reconstruire la vie de sa mère et la sienne, « quitte à les trafiquer, peu importe, une vérité mouvante et floue arrive à surnager ».
Ce récit tendre et souvent drôle fourmille d’anecdotes. « Avec Aucun souvenir de Césarée indique l’éditeur, Marie-Ange Guillaume signe un texte poignant où, au-delà de l’humour et de la colère, affleure une tendresse immense. Une adresse à sa mère, à toutes les mères, qui touche le lecteur en plein cœur ».
Marie-Ange Guillaume a écrit Tout le cimetière en parle, Ils s’en allaient faire des enfants ailleurs, L’Odeur de l’homme, La Dernière nuit, Ça m’énerve. Biographe de Desproges et Goscinny, elle a également signé des livres pour la jeunesse.
Sa mémoire c’était sa mère. « Ma mère, c’était après moi le déluge. J’entasse au grenier un bordel monstre, tu te taperas un jour le remake du nettoyage des écuries d’Augias, mais je ne serai pas là pour le voir. » Avec la disparition de cette mère, l’auteur va donc replonger dans le passé grâce au récit maternel. Photos, lettres, enregistrements vont lui permettre de combler ses trous de mémoire et par la même, de reconstruire la vie de sa mère et la sienne, « quitte à les trafiquer, peu importe, une vérité mouvante et floue arrive à surnager ».
Ce récit tendre et souvent drôle fourmille d’anecdotes. « Avec Aucun souvenir de Césarée indique l’éditeur, Marie-Ange Guillaume signe un texte poignant où, au-delà de l’humour et de la colère, affleure une tendresse immense. Une adresse à sa mère, à toutes les mères, qui touche le lecteur en plein cœur ».
Marie-Ange Guillaume a écrit Tout le cimetière en parle, Ils s’en allaient faire des enfants ailleurs, L’Odeur de l’homme, La Dernière nuit, Ça m’énerve. Biographe de Desproges et Goscinny, elle a également signé des livres pour la jeunesse.