L'apnée du sommeil, en fait, les apnées du sommeil, sont une succession d'arrêts respiratoires qui peuvent intervenir pendant notre sommeil.
Chez l’adulte, elles durent au minimum 10 secondes mais peuvent aller jusqu’à 30, 40,50 secondes…
A la fin, elles se terminent (heureusement) afin que la personne puisse respirer, par un petit éveil.
Naturellement, les apnées du sommeil nuisent à notre sommeil… Cela se reproduisant toutes les nuits chez les patients qui en souffrent, ces phénomènes conduisent à un stress sur le système cardio-vasculaire et font le lit de maladies chroniques (hypertension artérielle ou artériosclérose) ce qui peut entrainer des infarctus du myocarde ou des accidents vasculaires cérébraux dans une proportion beaucoup plus importante que dans une population « normale ».
En France, près d’une personne sur dix serait concernée par le Syndrome d’Apnée du Sommeil (SAS), soit un Français sur quinze tout de même ! A noter que le SAS concerne deux à quatre fois plus les hommes que les femmes de plus de 60 ans.
Plus concrètement, ce phénomène respiratoire est dû à un relâchement des muscles de la gorge et de la langue empêchant l’air de passer lors de la respiration. Les individus à risques sont ceux ayant pour habitude de ronfler, les personnes en surpoids, les seniors, les femmes enceintes en surpoids et les femmes ménopausées en surpoids.
Chez l’adulte, elles durent au minimum 10 secondes mais peuvent aller jusqu’à 30, 40,50 secondes…
A la fin, elles se terminent (heureusement) afin que la personne puisse respirer, par un petit éveil.
Naturellement, les apnées du sommeil nuisent à notre sommeil… Cela se reproduisant toutes les nuits chez les patients qui en souffrent, ces phénomènes conduisent à un stress sur le système cardio-vasculaire et font le lit de maladies chroniques (hypertension artérielle ou artériosclérose) ce qui peut entrainer des infarctus du myocarde ou des accidents vasculaires cérébraux dans une proportion beaucoup plus importante que dans une population « normale ».
En France, près d’une personne sur dix serait concernée par le Syndrome d’Apnée du Sommeil (SAS), soit un Français sur quinze tout de même ! A noter que le SAS concerne deux à quatre fois plus les hommes que les femmes de plus de 60 ans.
Plus concrètement, ce phénomène respiratoire est dû à un relâchement des muscles de la gorge et de la langue empêchant l’air de passer lors de la respiration. Les individus à risques sont ceux ayant pour habitude de ronfler, les personnes en surpoids, les seniors, les femmes enceintes en surpoids et les femmes ménopausées en surpoids.
Comme le souligne le communiqué de la FFC, les patients atteint du SAS sont sujets à une fatigue chronique, à des céphalées, à une somnolence... De plus, ce manque de sommeil peut aller vers la dépression et un stress intense chez certaines personnes.
« A long terme, l’apnée du sommeil provoque une hypertension sévère (notamment la nuit), des accidents vasculaires cérébraux, un infarctus du myocarde, des troubles du rythme ou de la conduction électrique ou encore de l’insuffisance cardiaque. Autant de complications qui demandent une bonne prévention et un bon dépistage » indique le Pr Claire Mounier Vehier, cardiologue et première vice-présidente de la FFC.
Afin de mieux dépister cette pathologie souvent « silencieuse » (à part les ronflements), la FFC vient de dévoiler un outil très simple de dépistage. Il s’agit d’un questionnaire en ligne qui permet de déterminer si l’on est susceptible d’être atteint de somnolence, un des symptômes d’apparition d’apnée du sommeil. Toutefois, attention, ronfler n’est pas forcément synonyme d’apnée du sommeil. E cas de doute, parlez-en à votre médecin, votre cardiologue et/ou pneumologue.
La Fédération Française de Cardiologie conseille :
- d’éviter les repas trop copieux le soir qui apporterait un sommeil de mauvaise qualité et moins stable.
- d’éviter les somnifères et l’alcool qui ont un impact sur la respiration.
« A long terme, l’apnée du sommeil provoque une hypertension sévère (notamment la nuit), des accidents vasculaires cérébraux, un infarctus du myocarde, des troubles du rythme ou de la conduction électrique ou encore de l’insuffisance cardiaque. Autant de complications qui demandent une bonne prévention et un bon dépistage » indique le Pr Claire Mounier Vehier, cardiologue et première vice-présidente de la FFC.
Afin de mieux dépister cette pathologie souvent « silencieuse » (à part les ronflements), la FFC vient de dévoiler un outil très simple de dépistage. Il s’agit d’un questionnaire en ligne qui permet de déterminer si l’on est susceptible d’être atteint de somnolence, un des symptômes d’apparition d’apnée du sommeil. Toutefois, attention, ronfler n’est pas forcément synonyme d’apnée du sommeil. E cas de doute, parlez-en à votre médecin, votre cardiologue et/ou pneumologue.
La Fédération Française de Cardiologie conseille :
- d’éviter les repas trop copieux le soir qui apporterait un sommeil de mauvaise qualité et moins stable.
- d’éviter les somnifères et l’alcool qui ont un impact sur la respiration.