L’Académie française est une vieille dame qui veille sur notre langue depuis 1635.
Cette institution fut fondée à l’origine par le cardinal de Richelieu avec pour mission d’assurer la défense du français !
Dans cet esprit, l’institution quatre fois centenaire publie sur son site Internet « ce qu’on doit dire et ne pas dire »… D’ailleurs, à ce propos, dit-on « de concert » ou « de conserve » ? Dit-on, la « situation est-elle sous contrôle » ? Dit-on, « des informations confidentielles ont-elles fuité » ? Dit-on, « adresse-t-on un problème » ? Dit-on, « faut-il répondre asap » ? Ou encore, dit-on, « a-t-il scoré deux fois » ?
Pour faire face comme il se doit à toutes se difficultés, pour savoir quels mots et quelles tournures choisir et éviter ainsi les fautes et tics de langage, retrouvez (pourquoi pas en famille ?) la rubrique « dire, ne pas dire » de l’Académie française avec sa nouvelle série de règles du mois de janvier 2014 :
- emplois fautifs (liaisons après les adjectifs numéraux cardinaux, informer une décision, d’ailleurs et par ailleurs, s’autoflageller...),
- extensions de sens abusives (communauté, visuel, lisible, qualitatif, improbable, carrément, différentiel, opus, tout à coup, génial...),
- néologismes et anglicismes (touch, déceptif, digital, cash, confusant, outdoor, bashing, friendly, blacklister, challenge, dispatcher, booké, checker, deadline, briefer, fashionista...),
- bonheurs et surprises (avoir la tête à l’escarpolette, pantalon, lardons, pleuvioter, pleuviner et pleuvasser, closeries, bohême et bohème, maroufle...),
- bloc-notes (de concert ou de conserve, concordance des temps...).
Une plongée passionnante au cœur de la langue de Molière… Qui confirme qu’il n’y a pas d’âge, ni pour aimer, ni pour apprendre…
Cette institution fut fondée à l’origine par le cardinal de Richelieu avec pour mission d’assurer la défense du français !
Dans cet esprit, l’institution quatre fois centenaire publie sur son site Internet « ce qu’on doit dire et ne pas dire »… D’ailleurs, à ce propos, dit-on « de concert » ou « de conserve » ? Dit-on, la « situation est-elle sous contrôle » ? Dit-on, « des informations confidentielles ont-elles fuité » ? Dit-on, « adresse-t-on un problème » ? Dit-on, « faut-il répondre asap » ? Ou encore, dit-on, « a-t-il scoré deux fois » ?
Pour faire face comme il se doit à toutes se difficultés, pour savoir quels mots et quelles tournures choisir et éviter ainsi les fautes et tics de langage, retrouvez (pourquoi pas en famille ?) la rubrique « dire, ne pas dire » de l’Académie française avec sa nouvelle série de règles du mois de janvier 2014 :
- emplois fautifs (liaisons après les adjectifs numéraux cardinaux, informer une décision, d’ailleurs et par ailleurs, s’autoflageller...),
- extensions de sens abusives (communauté, visuel, lisible, qualitatif, improbable, carrément, différentiel, opus, tout à coup, génial...),
- néologismes et anglicismes (touch, déceptif, digital, cash, confusant, outdoor, bashing, friendly, blacklister, challenge, dispatcher, booké, checker, deadline, briefer, fashionista...),
- bonheurs et surprises (avoir la tête à l’escarpolette, pantalon, lardons, pleuvioter, pleuviner et pleuvasser, closeries, bohême et bohème, maroufle...),
- bloc-notes (de concert ou de conserve, concordance des temps...).
Une plongée passionnante au cœur de la langue de Molière… Qui confirme qu’il n’y a pas d’âge, ni pour aimer, ni pour apprendre…