Réforme de la dépendance : il faut aller plus loin, estime Guillaume Staub, fondateur d’Amelis

Roselyne Bachelot a annoncé le 4 janvier dernier, l'installation de quatre groupes de travail sur la dépendance. Mais, mis à part les personnalités en assurant la présidence, la composition de ces groupes de travail reste à ce jour inconnue. « Il est nécessaire que le secteur privé soit représenté dans ces groupes de travail », assure Guillaume Staub, fondateur d'Amélis, société d’aide à domicile pour les personnes âgées ou dépendantes.





Pour Guillaume Staub, il est donc indispensable que le secteur privé -c'est-à-dire les entreprises d'aide à domicile et les maisons de retraite- soit représenté dans les groupes de travail qui vont proposer les grandes orientations sur la réforme de la dépendance.

En effet, souligne le communiqué de la société Amélis, « ces entreprises, qui ont investi massivement dans le secteur ces dernières années, possèdent une réelle expertise opérationnelle ». Selon Guillaume Staub, « les groupes de travail annoncés par Roselyne Bachelot ne peuvent pas faire l'économie des propositions innovantes du secteur privé, tant en termes de structuration de la prise en charge, de modalités de financement que d'organisation des structures publiques d'accueil et d'information des familles. »

Dans ce contexte, Guillaume Staub se porte donc candidat pour mettre ses idées, son énergie et sa disponibilité au service de l'un de ces groupes de travail.

Amélis : au service des personnes âgées ou dépendantes depuis plus de huit ans, cette société propose des services professionnels d'aide à domicile fondés sur la qualité du recrutement, le contrôle permanent sur le terrain de la qualité des prestations, le dialogue avec les personnes dépendantes et leurs familles et l’encadrement. Amélis est membre de la FESP (Fédération du service aux particuliers).

Article publié le 06/01/2011 à 11:41 | Lu 1909 fois