La maladie d’Alzheimer concerne, d’une façon ou d’une autre, une famille sur quatre…
Comme le soulignent les réalisateurs, « c’est lors des projections publiques de notre précédent film Une grande bouffée d’amour !, Prix du meilleur film d’information au festival national HANDICA 2005, que nous avons découvert le manque d’information compréhensible par tous concernant la maladie d’Alzheimer. »
Et de préciser : « il nous est alors apparu nécessaire de réaliser un deuxième documentaire, centré cette fois sur le point de vue des proches. Il permet de mieux connaître l’expérience de ceux qui voient leur mari, leur femme, leur père ou mère, perdre peu à peu leurs facultés. Leurs témoignages nous aident à mieux comprendre : quels furent les premiers signes ? Les premières alertes ? Quels furent les comportements adoptés par les malades pour dissimuler leurs maux ? Le, souvent, long chemin jusqu’au diagnostic ».
Comment accepter de voir son conjoint, après de longues années de bonheur, sombrer dans la démence alors qu’il est encore en bonne forme physique ? Comment rester amoureux d’une personne dont on ne sait plus si elle vous reconnaît, qui n’est plus que le fantôme d’elle-même, au comportement parfois outrancier ou vécu comme tel par le valide ?
« Pour réaliser ce film, remarquent encore les auteurs, nous nous approchons de femmes et d’hommes qui, forts de leurs expériences, ont compris la nécessité de s’exprimer, d’informer, de donner des pistes à ceux et celles qui sont ou seront confrontés à cette maladie. Malgré leur détresse, avec beaucoup de tendresse, avec humour aussi parfois, ces personnes nous donnent un bel exemple de générosité, de courage quotidien, une belle leçon de vie. »
Par ailleurs, des spécialistes interviennent pour donner au spectateur des précisions utiles à une bonne compréhension des comportements de chacun (proches ou patients)
Comme le soulignent les réalisateurs, « c’est lors des projections publiques de notre précédent film Une grande bouffée d’amour !, Prix du meilleur film d’information au festival national HANDICA 2005, que nous avons découvert le manque d’information compréhensible par tous concernant la maladie d’Alzheimer. »
Et de préciser : « il nous est alors apparu nécessaire de réaliser un deuxième documentaire, centré cette fois sur le point de vue des proches. Il permet de mieux connaître l’expérience de ceux qui voient leur mari, leur femme, leur père ou mère, perdre peu à peu leurs facultés. Leurs témoignages nous aident à mieux comprendre : quels furent les premiers signes ? Les premières alertes ? Quels furent les comportements adoptés par les malades pour dissimuler leurs maux ? Le, souvent, long chemin jusqu’au diagnostic ».
Comment accepter de voir son conjoint, après de longues années de bonheur, sombrer dans la démence alors qu’il est encore en bonne forme physique ? Comment rester amoureux d’une personne dont on ne sait plus si elle vous reconnaît, qui n’est plus que le fantôme d’elle-même, au comportement parfois outrancier ou vécu comme tel par le valide ?
« Pour réaliser ce film, remarquent encore les auteurs, nous nous approchons de femmes et d’hommes qui, forts de leurs expériences, ont compris la nécessité de s’exprimer, d’informer, de donner des pistes à ceux et celles qui sont ou seront confrontés à cette maladie. Malgré leur détresse, avec beaucoup de tendresse, avec humour aussi parfois, ces personnes nous donnent un bel exemple de générosité, de courage quotidien, une belle leçon de vie. »
Par ailleurs, des spécialistes interviennent pour donner au spectateur des précisions utiles à une bonne compréhension des comportements de chacun (proches ou patients)
