Manifestement, le « jeune âge » (39 ans) du candidat Emmanuel Macron n’a pas gêné les votants seniors. En effet, selon le dernier sondage réalisé par l’institut OpinionWay dimanche dernier, le jour du vote donc, le nouveau président aurait remporté 80% des voix chez les plus de 65 ans (et 76% chez les retraités). Un pourcentage énorme et pour le moins étonnant. De fait, ce taux est nettement supérieur à celui des 25/65 ans qui ont voté entre 60 et 64% pour lui.
Marine Le Pen qui avait pourtant mis en place en octobre 2016, un « Collectif senior ». Cette structure visait à enrichir et à donner des idées aux responsables du FN en matière de problématiques seniors. Manifestement, cela n’a pas suffi à convaincre cet électorat qui représente d’ores et déjà un tiers des votants français.
Pourtant le programme de l’ex-ministre de l’Economie prévoit de soumettre les retraités à la CSG (sauf pour les plus pauvres d’entre eux). Pour le reste, comme le rappelle le site Internet Référence-retraite.com, le nouveau président prône un système universel des retraite avec un âge légal de départ à la retraite identique à chaque statut, que vous soyez fonctionnaire, salarié, indépendant ou bénéficiaire d’un régime spécial. La pension versée sera donc, à même cotisations versées, identique.
Toujours selon le site Référence-retraite voici ce qui change :
• Mise en place d’un système universel prenant en compte tous les statuts.
• Plus de pénalisation pour les « parcours heurtés » présentant des périodes sans emploi par exemple. Il s’agira d’avoir les mêmes pensions de retraite sur une base de cotisations accumulées identique.
• Chacun pourra choisir son âge de départ : plus tôt avec une pension moindre ou plus tard avec une pension supérieure.
Ce qui ne changera pas :
• Le système restera un régime par répartition avec des cotisations qui ne seront pas investies dans des actifs financiers comme le pratiquent certaines caisses mais paieront les retraites d’aujourd’hui.
• Les indépendants pourront garder un taux de cotisation différent comme à ce jour au RSI par exemple. Les pensions de retraite étant relatives aux cotisations versées, celles-ci seront moindres.
• Les spécificités de certains régimes ne disparaîtront pas.
Les règles de base seront les mêmes pour tous, mais les taux de cotisation ou les conditions d'âge pourront différer, en raison notamment des caractéristiques des métiers. Nous n’avons pas de précisions concernant les régimes spéciaux ou métiers permettant un âge de départ plus avantageux.
• L’âge légal de départ à la retraite restera à 62 ans avec la possibilité de partir plus tard afin d’améliorer les pensions.
• La validation des périodes de chômage, AVPF et maladie restera inchangée et fera partie du nouveau système.
• La pénibilité sera toujours prise en compte.
Marine Le Pen qui avait pourtant mis en place en octobre 2016, un « Collectif senior ». Cette structure visait à enrichir et à donner des idées aux responsables du FN en matière de problématiques seniors. Manifestement, cela n’a pas suffi à convaincre cet électorat qui représente d’ores et déjà un tiers des votants français.
Pourtant le programme de l’ex-ministre de l’Economie prévoit de soumettre les retraités à la CSG (sauf pour les plus pauvres d’entre eux). Pour le reste, comme le rappelle le site Internet Référence-retraite.com, le nouveau président prône un système universel des retraite avec un âge légal de départ à la retraite identique à chaque statut, que vous soyez fonctionnaire, salarié, indépendant ou bénéficiaire d’un régime spécial. La pension versée sera donc, à même cotisations versées, identique.
Toujours selon le site Référence-retraite voici ce qui change :
• Mise en place d’un système universel prenant en compte tous les statuts.
• Plus de pénalisation pour les « parcours heurtés » présentant des périodes sans emploi par exemple. Il s’agira d’avoir les mêmes pensions de retraite sur une base de cotisations accumulées identique.
• Chacun pourra choisir son âge de départ : plus tôt avec une pension moindre ou plus tard avec une pension supérieure.
Ce qui ne changera pas :
• Le système restera un régime par répartition avec des cotisations qui ne seront pas investies dans des actifs financiers comme le pratiquent certaines caisses mais paieront les retraites d’aujourd’hui.
• Les indépendants pourront garder un taux de cotisation différent comme à ce jour au RSI par exemple. Les pensions de retraite étant relatives aux cotisations versées, celles-ci seront moindres.
• Les spécificités de certains régimes ne disparaîtront pas.
Les règles de base seront les mêmes pour tous, mais les taux de cotisation ou les conditions d'âge pourront différer, en raison notamment des caractéristiques des métiers. Nous n’avons pas de précisions concernant les régimes spéciaux ou métiers permettant un âge de départ plus avantageux.
• L’âge légal de départ à la retraite restera à 62 ans avec la possibilité de partir plus tard afin d’améliorer les pensions.
• La validation des périodes de chômage, AVPF et maladie restera inchangée et fera partie du nouveau système.
• La pénibilité sera toujours prise en compte.