Douleurs rhumatismales et articulaires : médicaments, attention !

Sept médicaments de la famille des anti-inflammatoires non-stéroïdiens sont dans le viseur des experts de la revue médicale indépendante Prescrire, qui vient de publier, comme chaque année depuis quatre ans, sa liste noire des médicaments. Le point avec l’Association Française de Chiropraxie (AFC).





Célécoxib (Celebrex), étoricoxib (Arcoxia), parécoxib (Dynastat), acéclofénac (Cartrex ou autre), diclofénac (Voltarène ou autre), kétoprofène en gel (Ketum ou autre), piroxicam (Feldène ou autre) : voici donc sept médicaments utilisés dans le traitement des douleurs, notamment rhumatismales, qui pourraient s’avérer « plus dangereux qu’utiles ».
 
Ces médicaments sont pour la plupart prescrits pour atténuer les symptômes douloureux liés à l’arthrose (qui concerne principalement les seniors), ou, s’agissant du kétoprofène en gel, ceux d’une tendinite, d’une entorse ou d’une lombalgie.
 
Rappelons que dans de nombreux cas, la chiropraxie peut apporter une réponse naturelle, non médicamenteuse, a ces douleurs. Cette pratique contribue en outre à restaurer la mobilité des articulations lésées. Pour le soin des lombalgies, l’Association française de chiropraxie rappelle en outre que le Journal of American medical association - Jama recommande le suivi chiropratique en première intention, c’est-à-dire avant toute prise en charge médicamenteuse des douleurs.
 
Reconnue, au niveau international, par l’Organisation Mondiale de la Santé, et en France, par le code de la santé publique, la chiropraxie est remboursée par la plupart des complémentaires santé.

Article publié le 04/05/2016 à 01:00 | Lu 3638 fois