A l’origine, les pom-pom girls sont des étudiantes qui, vêtues de tenues de majorettes, défilent avant et animent les matchs de football américain. Il s’agit donc d’un « pur produit » US. Avec le temps, la culture « pom-pom girls » s’est exportée un peu partout dans le monde. De nos jours, on trouve en France, mais également dans le reste de l’Europe, au Japon et en Corée du sud.
C’est en Corée de sud que ce groupe de mamies a créé cette unité de pom-pom girls. Vêtues de leurs uniformes, elles s’entrainent deux heures deux fois par semaine. Pour rester au top de leur forme et surtout, conserver cette souplesse qui leur permet de danser, courir et sauter comme il se doit ! En les voyant se mouvoir de la sorte, nul doute qu’elles ont laissé l’arthrose et autres petits soucis de côté. Et c’est tant mieux.
Elles sont une trentaine en tout. La plus jeune a 65 ans et la plus âgée à 82 ans (l’âge moyen tourne autour de 75 ans). Comme le soulignait la doyenne dans une dépêche de l’AFP : « en venant ici, je n’ai pas besoin de prendre de médicaments. Et bien que je vieillisse, cela me permet de rester jeune dans ma tête ».
Désormais le groupe se produit sur plusieurs scènes à travers le pays et participe même à des compétitions avec des équipes de pom-pom girls plus jeunes ! « Elles sont lentes comme des tortues » indique leur coach, « mais elles n’abandonnent jamais avant d’avoir atteint la perfection ».
Chapeau mesdames. Une belle manière de rester en forme et d’éviter l’isolement auquel sont souvent sujets les personnes âgées !
C’est en Corée de sud que ce groupe de mamies a créé cette unité de pom-pom girls. Vêtues de leurs uniformes, elles s’entrainent deux heures deux fois par semaine. Pour rester au top de leur forme et surtout, conserver cette souplesse qui leur permet de danser, courir et sauter comme il se doit ! En les voyant se mouvoir de la sorte, nul doute qu’elles ont laissé l’arthrose et autres petits soucis de côté. Et c’est tant mieux.
Elles sont une trentaine en tout. La plus jeune a 65 ans et la plus âgée à 82 ans (l’âge moyen tourne autour de 75 ans). Comme le soulignait la doyenne dans une dépêche de l’AFP : « en venant ici, je n’ai pas besoin de prendre de médicaments. Et bien que je vieillisse, cela me permet de rester jeune dans ma tête ».
Désormais le groupe se produit sur plusieurs scènes à travers le pays et participe même à des compétitions avec des équipes de pom-pom girls plus jeunes ! « Elles sont lentes comme des tortues » indique leur coach, « mais elles n’abandonnent jamais avant d’avoir atteint la perfection ».
Chapeau mesdames. Une belle manière de rester en forme et d’éviter l’isolement auquel sont souvent sujets les personnes âgées !