Comme le souligne un intéressant reportage diffusé sur France 2 le 22 septembre denier lors du JT de 13h, depuis deux ou trois, face à la pénurie d’étudiants pour les cueillettes d’automne, les exploitants agricoles embauchent des retraités.
Plus concrètement, c’est le cas d’un agriculteur dont les vergers se trouvent près de Niort dans les Deux-Sèvres. Pour cette saison (qui dure deux mois), il a embauché une douzaine de seniors. « On en pense que du bien, confie-t-il à la caméra de France 2. C’est des gens qui sont toujours présents. Quelque soit le temps, ils sont toujours pros, attentifs et travailleurs ».
Côté retraité, Guy, 62 ans, ancien agriculteur et employé souligne que les 1000 euros mensuels qui lui rapporte cette activité « arrange un peu sa retraite » et le « quotidien ». Josette, une autre retraitée du même âge indique qu’elle poursuivra les cueillettes tant que sa santé lui permettra.
Pourtant, ce travail n’est pas de tout repos, loin s’en faut. Huit heures par jour, à se lever, se baisser, se relever, puis porter des paniers remplis de pommes et poires… Attention aux courbatures !
Plus concrètement, c’est le cas d’un agriculteur dont les vergers se trouvent près de Niort dans les Deux-Sèvres. Pour cette saison (qui dure deux mois), il a embauché une douzaine de seniors. « On en pense que du bien, confie-t-il à la caméra de France 2. C’est des gens qui sont toujours présents. Quelque soit le temps, ils sont toujours pros, attentifs et travailleurs ».
Côté retraité, Guy, 62 ans, ancien agriculteur et employé souligne que les 1000 euros mensuels qui lui rapporte cette activité « arrange un peu sa retraite » et le « quotidien ». Josette, une autre retraitée du même âge indique qu’elle poursuivra les cueillettes tant que sa santé lui permettra.
Pourtant, ce travail n’est pas de tout repos, loin s’en faut. Huit heures par jour, à se lever, se baisser, se relever, puis porter des paniers remplis de pommes et poires… Attention aux courbatures !