Cosmétique : l’âge n’est pas révélateur du niveau de maturité d’une peau…

La marque Ekia, spécialisée dans les cosmétiques anti-âge bio, va publier dans deux magazines scientifiques, les conclusions de sa recherche clinique qui a porté sur 150 femmes de 50 à 80 ans. Conclusion : l’âge n’est pas révélateur du niveau de maturité d’une peau.


Qu’est-ce qui est le plus important pour l’action d’un soin visage ? L’âge de l’utilisatrice ou ce dont sa peau a réellement besoin ? Partant du principe que deux femmes du même âge n’ont pas la même peau, et que l’âge n’est pas révélateur du niveau de maturité d’une peau, la marque de cosmétiques bio Ekia a lancé une grande recherche clinique sur les peaux matures, en collaboration avec les scientifiques et dermatologues de l’Hôpital de Besançon (Doubs).

Pendant un an, la peau de 150 femmes de 50 à 80 ans a été étudiée, par le biais de cotations cliniques effectuées par des dermatologues et de mesures bio-métrologiques de certains paramètres cutanés, pour déterminer un modèle d’évaluation du niveau de maturité d’une peau.

En conclusion, Ekia affirme avoir « scientifiquement prouvé que l’âge n’est pas révélateur du niveau de maturité d’une peau ».

La marque a ainsi identifié les critères déterminants, qui sont :
• le niveau d’élasticité, mesuré par cutomètre
• l’emplacement et le type de rides : en effet, les rides au dessus des lèvres et les rides horizontales sur les joues sont révélatrices d’une structure de peau affaiblie, et donc d’un niveau de maturité important. Les rides ont été mesurées avec la technique de projection de franges
• l’éclat du teint et la présence de tâches pigmentaires, mesurés par photographies polarisées
• la rugosité, le grain de peau
• le nombre d’années passées en ménopause

Cette recherche a ainsi mis en lumière une nouvelle typologie des peaux matures, fondée sur trois types de peaux : les peaux matures préservées, fragilisées et carencées et a permis d’identifier les besoins propres à chaque type de peau...

Présentés au Congrès D’ingénierie Cutanée de Monaco en Octobre dernier, les résultats de cette étude font référence dans le monde scientifique. Ils vont être publiés au cours du premier semestre 2009 dans une revue de recherche fondamentale en cosmétologie : International Journal of Cosmetic Science, et dans une revue dermatologique : Les Nouvelles Dermatologiques.

Publié le 27/03/2009 à 12:24 | Lu 8620 fois