Ah la retraite… Beaucoup en rêve. Ne plus allez au bureau, ne plus se coltiner les collègues tous les jours, ne plus avoir à prendre les transports en commun, ne plus enfiler costume-cravate tous les matins… Partir en voyage sans contrainte, s’occuper de son jardin, être avec sa famille, ne plus avoir d’horaires. Tout cela semble bien séduisant de prime abord ! Et pourtant…
L’auteur, Antoine-Pierre Mariano a lui aussi rêvé de cette liberté retrouvée. Lui aussi a cru au bonheur de l’oisiveté. Mais il a vite déchanté ! Rapidement, il découvre l’horreur de la retraite, de l’exclusion dans une société empreinte de « jeunisme ». Par le biais de son double, Benoit Saint Gulliez, il décrit toutes les passages obligés, toutes les étapes du retraité : le pot de départ, le bal des hypocrites, l’abandon du costume et de la cravate pour le pantalon de velours, nouvel uniforme de l’inactif qui s’encroute dans le quotidien et le confort...
Au programme de ce pamphlet plein d’humour et de dérision, un musée des horreurs (bridge, jardinage, courses, ennui, etc.) pour ces seniors encore actifs et en bonne santé. De plus, il convient de rester dans le coup à l’époque de la révolution numérique. Au risque de passer pour un vieil has-been.
Pour l’auteur, loin d’être un paradis, la retraite serait plutôt un purgatoire avant l’enfer du déclin. Alors, retraités de tous les pays, unissez-vous pour continuer à travailler, à vivre tout simplement !
L’auteur, Antoine-Pierre Mariano a lui aussi rêvé de cette liberté retrouvée. Lui aussi a cru au bonheur de l’oisiveté. Mais il a vite déchanté ! Rapidement, il découvre l’horreur de la retraite, de l’exclusion dans une société empreinte de « jeunisme ». Par le biais de son double, Benoit Saint Gulliez, il décrit toutes les passages obligés, toutes les étapes du retraité : le pot de départ, le bal des hypocrites, l’abandon du costume et de la cravate pour le pantalon de velours, nouvel uniforme de l’inactif qui s’encroute dans le quotidien et le confort...
Au programme de ce pamphlet plein d’humour et de dérision, un musée des horreurs (bridge, jardinage, courses, ennui, etc.) pour ces seniors encore actifs et en bonne santé. De plus, il convient de rester dans le coup à l’époque de la révolution numérique. Au risque de passer pour un vieil has-been.
Pour l’auteur, loin d’être un paradis, la retraite serait plutôt un purgatoire avant l’enfer du déclin. Alors, retraités de tous les pays, unissez-vous pour continuer à travailler, à vivre tout simplement !