On le sait, passé un certain âge, les chutes peuvent entrainer des conséquences dramatiques…
Chaque année au sein de la Communauté européenne ce sont plus de 55.000 personnes qui meurent des conséquences de leur chute. Plus de 2.3 millions de sujets âgés qui sont admis en urgence pour des chutes. Et plus de 1,4 millions de chutes avec des conséquences traumatiques sont hospitalisées
Et pour l’Hexagone, ce sont : 450.000 chutes par an et 12.000 décès par an (plus que la grippe dont on parle nettement plus) et des coûts des soins avoisinant 2 milliards/an. Des chutes qui priveront 40 % des personnes hospitalisées d’un retour chez elles, alors même qu’une des clés du bien-vieillir est d’être chez soi.
Dans ce contexte, on comprend mieux l’intérêt de mettre en place des solutions qui préviennent ces chutes et qui préviennent en cas de chute ! Pour ces raisons, la première recommandation du rapport Broussy fixe justement un objectif de diminution des chutes mortelles d’un tiers (30%) d’ici à 2030.
Certaines solutions actuelles disponibles sur le marché seraient « plus déculpabilisantes qu’efficaces » assure la start-up dans son communiqué et seraient « défaillantes par leur performance, leurs contraintes d’usage (port obligatoire d’un bracelet, bouton, etc.) et de respect de la vie privée ».
D’où la création de ce dispositif de nouvelle génération qui se veut « totalement autonome, intelligent et très performant, à des fins de sécurisation de l’activité dans le lieu de résidence des personnes âgées ».
Dans la pratique , il s’agit d’une technologie logée dans un boîtier discret installé sur un mur ou au plafond. Les capteurs analysent les parcours du quotidien et alertent automatiquement en cas d’urgence. Ils fournissent également des informations sur l’activité qui permettent d’identifier les évolutions comportementales. Un dispositif non stigmatisant, non contraignant et non intrusif.
Chaque année au sein de la Communauté européenne ce sont plus de 55.000 personnes qui meurent des conséquences de leur chute. Plus de 2.3 millions de sujets âgés qui sont admis en urgence pour des chutes. Et plus de 1,4 millions de chutes avec des conséquences traumatiques sont hospitalisées
Et pour l’Hexagone, ce sont : 450.000 chutes par an et 12.000 décès par an (plus que la grippe dont on parle nettement plus) et des coûts des soins avoisinant 2 milliards/an. Des chutes qui priveront 40 % des personnes hospitalisées d’un retour chez elles, alors même qu’une des clés du bien-vieillir est d’être chez soi.
Dans ce contexte, on comprend mieux l’intérêt de mettre en place des solutions qui préviennent ces chutes et qui préviennent en cas de chute ! Pour ces raisons, la première recommandation du rapport Broussy fixe justement un objectif de diminution des chutes mortelles d’un tiers (30%) d’ici à 2030.
Certaines solutions actuelles disponibles sur le marché seraient « plus déculpabilisantes qu’efficaces » assure la start-up dans son communiqué et seraient « défaillantes par leur performance, leurs contraintes d’usage (port obligatoire d’un bracelet, bouton, etc.) et de respect de la vie privée ».
D’où la création de ce dispositif de nouvelle génération qui se veut « totalement autonome, intelligent et très performant, à des fins de sécurisation de l’activité dans le lieu de résidence des personnes âgées ».
Dans la pratique , il s’agit d’une technologie logée dans un boîtier discret installé sur un mur ou au plafond. Les capteurs analysent les parcours du quotidien et alertent automatiquement en cas d’urgence. Ils fournissent également des informations sur l’activité qui permettent d’identifier les évolutions comportementales. Un dispositif non stigmatisant, non contraignant et non intrusif.