Selon le site Internet Service-public.fr, « 170 000 nouveaux contrats aidés seront ainsi créés, dont 50 000 contrats initiative emploi (CIE) dans le secteur marchand et 120 000 contrats d’accompagnement dans l’emploi (CAE) dans le secteur non marchand ».
Toujours selon le portail du service public, « 70 000 formations rémunérées seront proposées aux chômeurs en fin de droits, concernant les métiers porteurs ou les savoirs de base ».
Le chômeur en fin de droits auquel Pôle emploi n’aurait pu proposer un de ces deux dispositifs, pourra percevoir une « aide exceptionnelle de retour à l’emploi », pendant une durée maximale de six mois. Le montant de cette aide est fixé à 460 euros par mois, mais ses critères d’attribution restent à préciser.
C’est ce qu’indique notamment une communication sur « les mesures en faveur des demandeurs d’emploi en fin de droits » présentée en Conseil des ministres du 21 avril. Ces mesures ont été définies dans le cadre d’un accord conclu le 15 avril entre le gouvernement, quatre syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FO) et le patronat (Medef, CGPME, Upa).
Toujours selon le portail du service public, « 70 000 formations rémunérées seront proposées aux chômeurs en fin de droits, concernant les métiers porteurs ou les savoirs de base ».
Le chômeur en fin de droits auquel Pôle emploi n’aurait pu proposer un de ces deux dispositifs, pourra percevoir une « aide exceptionnelle de retour à l’emploi », pendant une durée maximale de six mois. Le montant de cette aide est fixé à 460 euros par mois, mais ses critères d’attribution restent à préciser.
C’est ce qu’indique notamment une communication sur « les mesures en faveur des demandeurs d’emploi en fin de droits » présentée en Conseil des ministres du 21 avril. Ces mesures ont été définies dans le cadre d’un accord conclu le 15 avril entre le gouvernement, quatre syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FO) et le patronat (Medef, CGPME, Upa).