Si l’impact perçu du bruit est négatif sur notre énergie, il l’est nettement moins sur des dimensions plus dangereuses, menaçant d’ailleurs davantage sa santé. Ainsi, plus de la moitié (53%) des sondés estime que le bruit crée des maux de tête, 49% qu’il génère souvent de l’anxiété, 45% qu’il fait courir un risque de surdité définitive et 42% qu’il crée des acouphènes.
Concernant le diagnostic des effets néfastes du bruit pour les oreilles, les deux tiers des Français (65%) pointent conjointement le volume sonore et la durée d’exposition.
Au travail et dans les transports : ces deux endroits, que nous pratiquons pour la plupart au quotidien, sont ceux où les Français se sentent particulièrement agressés par le bruit (respectivement 50 % et 48 % des Français déclarent y être souvent agressés). S’agissant du moment durant lequel le bruit est le plus gênant, un petit tiers (32%) pense que c’est plutôt pendant la nuit, 27% plutôt pendant la journée et 27% à ces deux moments.
Toujours selon ce sondage, les Français se disent particulièrement gênés pour suivre les conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les Transports Publics pour près de neuf personnes sur dix. Le lieu de travail suit de très près avec 79%. En comparaison avec les lieux extérieurs, le domicile est très minoritairement cité comme lieu d’agression sonore (21%) même si les habitants de l’agglomération parisienne s’y sentent davantage agressés (29%).
Enfin, nos compatriotes légitiment le rôle des Pouvoirs Publics pour lutter contre le bruit et les nuisances sonores. Concernant plus précisément la santé, un large majorité (85%) estime qu’une meilleure gestion des nuisances sonores permettrait de bénéficier d’une meilleure santé et 83% d’éviter une augmentation des risques de surdité. Enfin, 89% des sondés pensent qu’une meilleure gestion du bruit permettrait d’améliorer la qualité de vie au quotidien. Ce en quoi ils n’ont pas tort…
Concernant le diagnostic des effets néfastes du bruit pour les oreilles, les deux tiers des Français (65%) pointent conjointement le volume sonore et la durée d’exposition.
Au travail et dans les transports : ces deux endroits, que nous pratiquons pour la plupart au quotidien, sont ceux où les Français se sentent particulièrement agressés par le bruit (respectivement 50 % et 48 % des Français déclarent y être souvent agressés). S’agissant du moment durant lequel le bruit est le plus gênant, un petit tiers (32%) pense que c’est plutôt pendant la nuit, 27% plutôt pendant la journée et 27% à ces deux moments.
Toujours selon ce sondage, les Français se disent particulièrement gênés pour suivre les conversations dans les restaurants, cafés et bars et dans les Transports Publics pour près de neuf personnes sur dix. Le lieu de travail suit de très près avec 79%. En comparaison avec les lieux extérieurs, le domicile est très minoritairement cité comme lieu d’agression sonore (21%) même si les habitants de l’agglomération parisienne s’y sentent davantage agressés (29%).
Enfin, nos compatriotes légitiment le rôle des Pouvoirs Publics pour lutter contre le bruit et les nuisances sonores. Concernant plus précisément la santé, un large majorité (85%) estime qu’une meilleure gestion des nuisances sonores permettrait de bénéficier d’une meilleure santé et 83% d’éviter une augmentation des risques de surdité. Enfin, 89% des sondés pensent qu’une meilleure gestion du bruit permettrait d’améliorer la qualité de vie au quotidien. Ce en quoi ils n’ont pas tort…