Pour qui ?
Le viager s’adresse :
• Aux particuliers, le plus souvent des personnes âgées, qui veulent se constituer un complément de retraite jusqu’à la fin de leurs jours.
• Aux investisseurs immobiliers qui ont une stratégie patrimoniale à long terme et qui ont déjà un certain capital. Le viager offre dans ce cas une alternative très attractive par rapport à l’investissement locatif, trop contraignant en terme de gestion et de risques d’impayés. En fait, l’investissement en viager est une véritable retraite par capitalisation volontaire et permet «d’hériter de soi-même» et de protéger sa famille.
Pourquoi se lancer dans un viager ?
Pour les seniors : ils profitent d’un complément de retraite qui sera régulièrement revalorisé et bénéficiera d’une fiscalité avantageuse. Dans le cas d’un viager occupé, les seniors peuvent également rester dans un environnement qui leur est familier le plus longtemps possible.
Pour les investisseurs : ils se constituent un patrimoine dont la valeur vénale est diminuée d’un pourcentage correspondant à l’avantage que représente, pour le vendeur, le fait de pouvoir continuer à occuper son logement sa vie durant. Concrètement, cela signifie que le prix de vente du viager occupé peut être inférieur de 40 à 60% (en fonction de l’âge du vendeur) à la valeur libre du logement.
Pourquoi le viager reste encore trop peu utilisé ?
Actuellement, il y a en moyenne 4 vendeurs en viager pour 1 acheteur. Une situation qui s’explique par deux raisons majeures : d’abord, le mécanisme du viager n’est pas assez mis en avant par les agents immobiliers et les notaires, qui le connaissent mal ; ensuite, de nombreuses personnes ont en tête le cas de « Jeanne Calment », décédée à 122 ans... soit bien des années après l’acquéreur de son appartement ! Heureusement, il existe des mécanismes pour sécuriser son investissement et même avoir une totale visibilité, comme le viager occupé sans rente.
Quels sont les différents types de viager ?
Il existe plusieurs formules de viager :
• Le viager libre : L’acquéreur achète un bien immobilier libre de tout occupant. Il peut donc l’habiter ou le mettre en location.
• Le viager libre-loué : L’acquéreur achète un bien immobilier avec un locataire, devenant le bailleur de celui-ci et percevant le loyer tout en payant au vendeur un bouquet et une rente viagère.
• Le viager occupé sans rente : Le bien immobilier reste occupé par le vendeur, qui bénéficie d’un droit d’usage et d’habitation. Le prix est payé comptant sans versement d’une rente viagère, donc sur une durée aléatoire.
• Le viager occupé avec rente : Le bien immobilier reste occupé par le vendeur, qui bénéficie d’un droit d’usage et d’habitation. Le prix est payé en partie comptant (ce « bouquet » équivaut généralement à 20 à 40% de la valeur occupée du bien en fonction de l’âge du vendeur ou de ses
besoins financiers) et en partie par rente viagère (mensualité indexée sur l’indice du coût de la vie et s’arrêtant au décès du vendeur)
• La vente à terme : Dans cette vente, le bien immobilier est généralement libre d’occupation. Les mensualités sont à payer sur une durée déterminée à l’avance et donc limitée dans le temps. C’est en fait un crédit vendeur ou, plus exactement, un paiement à terme.
Le viager s’adresse :
• Aux particuliers, le plus souvent des personnes âgées, qui veulent se constituer un complément de retraite jusqu’à la fin de leurs jours.
• Aux investisseurs immobiliers qui ont une stratégie patrimoniale à long terme et qui ont déjà un certain capital. Le viager offre dans ce cas une alternative très attractive par rapport à l’investissement locatif, trop contraignant en terme de gestion et de risques d’impayés. En fait, l’investissement en viager est une véritable retraite par capitalisation volontaire et permet «d’hériter de soi-même» et de protéger sa famille.
Pourquoi se lancer dans un viager ?
Pour les seniors : ils profitent d’un complément de retraite qui sera régulièrement revalorisé et bénéficiera d’une fiscalité avantageuse. Dans le cas d’un viager occupé, les seniors peuvent également rester dans un environnement qui leur est familier le plus longtemps possible.
Pour les investisseurs : ils se constituent un patrimoine dont la valeur vénale est diminuée d’un pourcentage correspondant à l’avantage que représente, pour le vendeur, le fait de pouvoir continuer à occuper son logement sa vie durant. Concrètement, cela signifie que le prix de vente du viager occupé peut être inférieur de 40 à 60% (en fonction de l’âge du vendeur) à la valeur libre du logement.
Pourquoi le viager reste encore trop peu utilisé ?
Actuellement, il y a en moyenne 4 vendeurs en viager pour 1 acheteur. Une situation qui s’explique par deux raisons majeures : d’abord, le mécanisme du viager n’est pas assez mis en avant par les agents immobiliers et les notaires, qui le connaissent mal ; ensuite, de nombreuses personnes ont en tête le cas de « Jeanne Calment », décédée à 122 ans... soit bien des années après l’acquéreur de son appartement ! Heureusement, il existe des mécanismes pour sécuriser son investissement et même avoir une totale visibilité, comme le viager occupé sans rente.
Quels sont les différents types de viager ?
Il existe plusieurs formules de viager :
• Le viager libre : L’acquéreur achète un bien immobilier libre de tout occupant. Il peut donc l’habiter ou le mettre en location.
• Le viager libre-loué : L’acquéreur achète un bien immobilier avec un locataire, devenant le bailleur de celui-ci et percevant le loyer tout en payant au vendeur un bouquet et une rente viagère.
• Le viager occupé sans rente : Le bien immobilier reste occupé par le vendeur, qui bénéficie d’un droit d’usage et d’habitation. Le prix est payé comptant sans versement d’une rente viagère, donc sur une durée aléatoire.
• Le viager occupé avec rente : Le bien immobilier reste occupé par le vendeur, qui bénéficie d’un droit d’usage et d’habitation. Le prix est payé en partie comptant (ce « bouquet » équivaut généralement à 20 à 40% de la valeur occupée du bien en fonction de l’âge du vendeur ou de ses
besoins financiers) et en partie par rente viagère (mensualité indexée sur l’indice du coût de la vie et s’arrêtant au décès du vendeur)
• La vente à terme : Dans cette vente, le bien immobilier est généralement libre d’occupation. Les mensualités sont à payer sur une durée déterminée à l’avance et donc limitée dans le temps. C’est en fait un crédit vendeur ou, plus exactement, un paiement à terme.