Le gouvernement wallon en Belgique envisage d’élargir à toute la région une expérience pilote actuellement menée dans la province de Namur : accueillir un senior à domicile, dans une famille, contre mille euros pas mois, pour lutter contre le manque de place en maisons de retraite et la solitude des aînés.
Pour ce faire, le gouvernement local va lancer un appel aux familles désireuses d’accueillir un senior au sein de leur domicile. Ainsi, au cours des prochaines semaines, « des dizaines de personnes âgées qui ne souhaitent plus vivre seules ni aller en maison de repos vont être hébergées dans des familles d'accueil » rapportent les journaux du groupe Sudpresse (sur le site Internet de RTL.be).
Concrètement, les accueillants et les aînés signent une convention. Le senior s’engage à verser à la famille d’accueil mille euros par mois. De son côté, la famille d’accueil s’engage à lui offrir du temps, à s’assurer que l’aîné est en bonne santé et respecter ses convictions religieuses, philosophiques et politique.
Par ailleurs, une assistante sociale passe régulièrement pour s’assurer que la cohabitation se déroule correctement. Ce type d’accueil familial va également être réglementé. Des formations et des tests vont être mis en place.
Si le résultat de cette expérience s’avère concluant, le concept pourrait être généralisé en 2012.
Pour ce faire, le gouvernement local va lancer un appel aux familles désireuses d’accueillir un senior au sein de leur domicile. Ainsi, au cours des prochaines semaines, « des dizaines de personnes âgées qui ne souhaitent plus vivre seules ni aller en maison de repos vont être hébergées dans des familles d'accueil » rapportent les journaux du groupe Sudpresse (sur le site Internet de RTL.be).
Concrètement, les accueillants et les aînés signent une convention. Le senior s’engage à verser à la famille d’accueil mille euros par mois. De son côté, la famille d’accueil s’engage à lui offrir du temps, à s’assurer que l’aîné est en bonne santé et respecter ses convictions religieuses, philosophiques et politique.
Par ailleurs, une assistante sociale passe régulièrement pour s’assurer que la cohabitation se déroule correctement. Ce type d’accueil familial va également être réglementé. Des formations et des tests vont être mis en place.
Si le résultat de cette expérience s’avère concluant, le concept pourrait être généralisé en 2012.