En effet, ces entrepreneurs pourraient être concernés par la suppression de l’exonération de plus-value en vendant les parts de leur entreprise au moment de leur départ en retraite, proposition annoncée par le Parti Socialiste en cas d’élection.
Dans ce contexte, il est urgent pour les chefs d’entreprise ayant dépassé l’âge de 59 ans de s’interroger sur, d’une part, l’accélération d’une éventuelle cession pour préserver leurs droits ; et d’autre part, la nécessité de réaliser un diagnostic précis et fiable de leur future retraite.
« Il est injuste de pénaliser les entrepreneurs qui vendent leur société au moment de leur départ à la retraite souvent fruit de quarante ans de travail. Cette mesure avait pour objectif de faciliter la transmission des entreprises et éviter ainsi que nombre d’entre elles ne ferme. Sa remise en cause risque d’entraîner de nombreuses entreprises vers la fermeture comme c’est le cas actuellement et la destruction du tissu économique local » explique Emmanuel Grimaud, fondateur et président de Maximis Retraite.
Dans ce contexte, il est urgent pour les chefs d’entreprise ayant dépassé l’âge de 59 ans de s’interroger sur, d’une part, l’accélération d’une éventuelle cession pour préserver leurs droits ; et d’autre part, la nécessité de réaliser un diagnostic précis et fiable de leur future retraite.
« Il est injuste de pénaliser les entrepreneurs qui vendent leur société au moment de leur départ à la retraite souvent fruit de quarante ans de travail. Cette mesure avait pour objectif de faciliter la transmission des entreprises et éviter ainsi que nombre d’entre elles ne ferme. Sa remise en cause risque d’entraîner de nombreuses entreprises vers la fermeture comme c’est le cas actuellement et la destruction du tissu économique local » explique Emmanuel Grimaud, fondateur et président de Maximis Retraite.