Pérou : Cahuana Gutierrez, elle touche sa première retraite à l'âge de 118 ans

La Péruvienne Cahuana Andrea Gutierrez va toucher sa toute première retraite (d’un montant de 42 dollars) à l’âge de 118 ans. Tout comme Filomena Tapie, elle va bénéficier d’un nouveau dispositif d’aide à destination des aînés les plus pauvres mis en place au Pérou.





Pérou : Cahuana Gutierrez, elle touche sa première retraite à l'âge de 118 ans
Mieux vaut tard que jamais diront certains ! Mais tout de même ! Tout comme Filomena Tapie en mai dernier, Cahuana Andrea Gutierrez, qui serait âgée de 118 ans va toucher sa toute première retraite de 42 dollars grâce à la mise en place d’un nouveau programme local à destination des aînés les plus pauvres.
 
En effet, le Pérou a mis en place il y a quelques mois, un nouveau dispositif d’aide à destination des personnes âgées les plus pauvres. C’est une excellente chose. Cela permettra aux aînés de ce pays d’Amérique du sud de toucher une petite retraite (certes, pas bien grosse) et aussi, de bénéficier de soins de santé gratuits.
 
Selon une récente dépêche de l’AFP, la vieille dame serait née le 25 mai 1896. Ce qui en ferait la doyenne du pays, mais également de l’humanité. Toutefois, il convient de rester prudent sur l’exactitude des dates de naissance de ces « plus que centenaires »… Dans tous les cas, la vieille dame (qui ne parle que le quechua) se trouve sur la liste des 400 personnes âgées de cent et plus qui peuvent se voir attribuer cette retraite. Par deux fois déjà auparavant, elle s’était vue refusée le droit à cette pension. Elle a eu douze enfants, dont huit sont décédés.
 
Pour le moment, la doyenne « connue » de l'humanité reste donc la Japonaise Misao Okawa qui est âgée de 116 ans. Soulignons qu’il est toujours délicat d’affirmer à 100% qu’il s’agit avec certitude de « la femme la plus âgée » ou de « l’homme le plus âgé » de la planète. C’est la raison pour laquelle, il est toujours précisé « doyen(ne) connu(e) ». De plus, seule la famille, peut décider –ou pas- de faire connaitre de leur vivant l’existence de leur parent susceptible d’être doyen.

Article publié le 31/10/2014 à 12:30 | Lu 1055 fois