L'Ordre de la Libération a été créé par le général de Gaulle dès novembre 1940. Comme le disait Romain Gary, lui-même compagnon de la Libération, il semble difficile de témoigner dans un même ouvrage « d'un groupe aussi hétérogène, d'autant d'histoires particulières, de situations différentes, autrement dit, d'édifier une fresque à mille personnages ». Ils représentent en effet les diverses composantes de la France libre sans distinction d'âge, d'origine ni de classe.
L'exposition est un reflet de cette diversité. Elle propose une mosaïque de portraits représentant les treize compagnons de la Libération du Limousin, tous nés dans la région, mais aussi différents que le Général Valin, le sergent Soulat ou Georges Guingouin. Le destin de huit d'entre eux, dont les deux généraux Catroux et Valin, se conjuguent avec l'histoire des Forces françaises libres (puis de la France combattante en 1942) soit un parcours de 90 000 km d'Afrique en Allemagne. Les cinq autres compagnons sont des membres de la Résistance intérieure dont le combat s'inscrit en Limousin.
La scénographie, construite dans le même esprit que la collection permanente du musée de la Résistance, avec une présentation épurée, sans emphase ni recherche d'exhaustivité, a été naturellement confiée à Frédéric Casanova, l'auteur des choix scénographiques du musée inauguré début 2010. Elle propose un parcours en trois grandes étapes.
En préambule, dès l'entrée dans la salle d'expositions temporaires, une première partie s'attache à rappeler les principales étapes de la création et du fonctionnement de l'Ordre de la Libération. Puis elle évoque de façon didactique et chronologique le contexte historique général et exceptionnel de la France durant cette période, les Forces françaises libres, la France combattante, sans oublier la Résistance intérieure.
Les deux autres parties sont entièrement consacrées à la présentation des 13 compagnons de la Libération du Limousin, avec une salle dédiée aux compagnons originaires de Haute-Vienne et une pour les compagnons creusois et corréziens.
Chaque portrait se différencie par une couleur propre. Une grande photographie avec des éléments biographiques synthétiques présente le personnage. Les étapes marquantes de son parcours héroïque pendant la Seconde Guerre sont illustrées par de grandes photographies légendées, comme des clins d'oeil, et des cartes permettent de positionner ses principales actions.
L'exposition, très illustrée, comporte quelque 160 documents (photographies, cartes, tenues prêtées par le musée de l'Armée à Paris et le musée des troupes de la Marine à Fréjus). Ils sont mis en valeur sur des cimaises murales et d'angles, des panneaux en bois peints et des vitrines. Enfin, pour la partie historique, plusieurs uniformes militaires représentent les unités les plus emblématiques de cette épopée.
L'exposition est un reflet de cette diversité. Elle propose une mosaïque de portraits représentant les treize compagnons de la Libération du Limousin, tous nés dans la région, mais aussi différents que le Général Valin, le sergent Soulat ou Georges Guingouin. Le destin de huit d'entre eux, dont les deux généraux Catroux et Valin, se conjuguent avec l'histoire des Forces françaises libres (puis de la France combattante en 1942) soit un parcours de 90 000 km d'Afrique en Allemagne. Les cinq autres compagnons sont des membres de la Résistance intérieure dont le combat s'inscrit en Limousin.
La scénographie, construite dans le même esprit que la collection permanente du musée de la Résistance, avec une présentation épurée, sans emphase ni recherche d'exhaustivité, a été naturellement confiée à Frédéric Casanova, l'auteur des choix scénographiques du musée inauguré début 2010. Elle propose un parcours en trois grandes étapes.
En préambule, dès l'entrée dans la salle d'expositions temporaires, une première partie s'attache à rappeler les principales étapes de la création et du fonctionnement de l'Ordre de la Libération. Puis elle évoque de façon didactique et chronologique le contexte historique général et exceptionnel de la France durant cette période, les Forces françaises libres, la France combattante, sans oublier la Résistance intérieure.
Les deux autres parties sont entièrement consacrées à la présentation des 13 compagnons de la Libération du Limousin, avec une salle dédiée aux compagnons originaires de Haute-Vienne et une pour les compagnons creusois et corréziens.
Chaque portrait se différencie par une couleur propre. Une grande photographie avec des éléments biographiques synthétiques présente le personnage. Les étapes marquantes de son parcours héroïque pendant la Seconde Guerre sont illustrées par de grandes photographies légendées, comme des clins d'oeil, et des cartes permettent de positionner ses principales actions.
L'exposition, très illustrée, comporte quelque 160 documents (photographies, cartes, tenues prêtées par le musée de l'Armée à Paris et le musée des troupes de la Marine à Fréjus). Ils sont mis en valeur sur des cimaises murales et d'angles, des panneaux en bois peints et des vitrines. Enfin, pour la partie historique, plusieurs uniformes militaires représentent les unités les plus emblématiques de cette épopée.
Exposition au musée de la Résistance de Limoges
7 rue Neuve Saint-Etienne - Tél : 05 55 45 84 44
www.resistance-massif-central.fr
Du 12 octobre 2013 au 15 mars 2014, tous les jours sauf le mardi de 9h30 à 17h
Attention : à partir de janvier 2014, le musée sera également fermé le dimanche matin
Entrée : 2 euros
Gratuit pour les moins de 18 ans, les étudiants, les demandeurs d'emploi, les bénéficiaires de minima sociaux, les anciens combattants et veuves de guerre, les handicapés, les titulaires de la carte ICOM et les membres des Amis du musée de la Résistance.
7 rue Neuve Saint-Etienne - Tél : 05 55 45 84 44
www.resistance-massif-central.fr
Du 12 octobre 2013 au 15 mars 2014, tous les jours sauf le mardi de 9h30 à 17h
Attention : à partir de janvier 2014, le musée sera également fermé le dimanche matin
Entrée : 2 euros
Gratuit pour les moins de 18 ans, les étudiants, les demandeurs d'emploi, les bénéficiaires de minima sociaux, les anciens combattants et veuves de guerre, les handicapés, les titulaires de la carte ICOM et les membres des Amis du musée de la Résistance.
