Le bien-être, c'est autant physique qu'émotionnel pour les deux-tiers des Français

Alors qu’UPSA vient de commercialiser un nouveau complément alimentaire à base de magnésium, le célèbre laboratoire a commandité l’Ifop pour réaliser un sondage sur les Français et le bien-être… Résultat ? Pour plus des deux-tiers, le bien-être c’est autant physique qu’émotionnel. Détails.





Le bien-être, c'est autant physique qu'émotionnel pour les deux-tiers des Français
Notre monde bouge vite, trop vite pour certains… Dans ce contexte, pas toujours simple de se sentir bien et serein… Selon les résultats de cette étude de l’Ifop, un tiers de nos compatriotes considère que le bien-être nécessite en premier lieu d’être en bonne santé. Comme le souligne Damien Philippot, directeur des études de l’institut de sondage : « être en bonne santé constitue une condition indispensable mais non suffisante du bien-être. Chacun est régulièrement exposé à des messages sanitaires assez anxiogènes, il n’est donc pas étonnant qu’on rappelle la primauté de la bonne santé dans la définition du bien-être ».
 
Ensuite, 29% estiment qu’il faut avoir un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Pour un petit quart (23%) des Français, il faut se sentier bien dans sa peau. Enfin, toujours selon ce sondage, un état de bien-être se traduit par : ne pas être stressé(e) pour 9% des personnes interrogées ; éprouver du plaisir (4%) et se sentir reposé(e) (4%).
 
« La peur de tomber malade, mais aussi la crise économique et sociale, ramènent les déterminants plus « psychologiques » du bien-être au second rang. Les Français pensent peut-être également que l’absence de stress, le plaisir ou le sentiment d’être reposé viennent naturellement quand on est en bonne santé » ajoute Damien Philippot.
 
Alors qu’il commence à faire froid, que l’on vient de changer d’heure, que la crise n’en finit pas, pas toujours simple d’être au top de sa forme ! Avec pour conséquence, coup de blues et petite déprime… Pour les sondés, cet état de fatigue lancinant, autant physique qu’émotionnel peut s’expliquer par : la crise (la peur de perdre son travail, les difficultés financière…) pour 41% ; l’intensité du mode de vie et le nombre de tâches à remplir au quotidien (40%) ; le manque de repos (35%) ; le travail pour 27% ; les problèmes de la vie en milieu urbain (28%) ; et le manque de lumière en hiver (14%).
 
Pour combattre cet état, chacun à sa méthode : plus de la moitié (55%) essaye de dormir plus ; un quart (24%) reste à la maison ; un autre petit quart (23%) pratique une activité phyisique ; 17% partent en vacances ; 14% font une cure de magnésium ; 13% font appel à des médecines douces ; 12% vont voir leur médecin et 13% ne font rien !
 
Rappelons que le magnésium est essentiel au bon fonctionnement de notre organisme. Il intervient dans plus de 300 réactions métaboliques. Plus concrètement, il transforme les calories en énergie utilisable tout au long de la journée. Il aide ainsi l’organisme à résister à la fatigue et donc, aux accès de déprime. La fatigue est en effet très anxiogène et fait facilement paraître la réalité plus sombre qu’elle n’est. En contribuant au fonctionnement de l’activité cérébrale, à la transmission des données entre les neurones et à la production de dopamine, le magnésium favorise un sommeil de qualité et permet de réduire la sensibilité au stress. Le moindre manque peut donc entrainer des répercussions directes sur la forme et l’humeur. Surtout quand on sait que le stress favorise la fuite du magnésium dans les urines. C’est un cercle vicieux sans fin puisque le déficit en magnésium accentue justement le stress !
 
Comme le souligne le docteur Pierre Azam : « le magnésium n’est pas synthétisé par l’organisme. Il est apporté par l’alimentation. En moyenne, il faut compter entre 300 et 400 mg d’apport quotidien en magnésium ; tout dépend de la taille et du poids de la personne. Il est donc indispensable d’avoir une alimentation riche et variée en privilégiant les céréales intégrales telles que le blé complet, le riz complet ; les légumineuses comme les lentilles, les pois chiches, le boulgour, le quinoa et l’ensemble des légumes ».

Article publié le 04/11/2014 à 01:07 | Lu 1581 fois