Si la fête des grands-mères est relativement jeune d’existence, elle cherche tout de même à s’imposer aux yeux du grand public comme un incontournable, que ce soit en faisant l’objet d’ateliers dans les écoles ou de campagnes promotionnelles.

Cependant, il semblerait que les membres de ce site Internet, au cœur même de ce sujet, aient une manière différente d’appréhender cette fête.

En effet, parmi elles, 43% considèrent cet événement comme une énième fête commerciale, tandis que 32% d’entre-elles oublieront probablement le jour J, faute d’intérêt dans cette célébration. Enfin, seulement 25% d’entre-elles se réjouissent à l’idée de célébrer ce jour en compagnie de leurs petits-enfants !

« Ces tendances se traduisent sans doute par le fait que cette fête est entrée depuis peu dans les mœurs et qu’elle ne constitue pas une tradition que les seniors ont eux-mêmes suivi étant enfants. D’un autre côté, ce rejet si fort de la fête des grands-mères pourrait s’expliquer par la volonté des femmes seniors de trouver un épanouissement en dehors de leur vie familiale. A l’échelle de Quintonic, nous constatons que les seniors ne placent pas forcément leur famille comme premier vecteur de bien-être. Ils sont en effet de plus en plus à la recherche d’une vie sociale dynamique en dehors de cette sphère » explique Lauren Sené, Responsable Marketing pour Quintonic.

Et puis la Fête des grands-mères rappelle forcément, d’une manière ou d’une autre, à ces femmes qu’elles sont… grands-mères. Avec toutes les notions d’âge et de vieillissement que cela comporte en filigrane…

*Méthodologie : Quintonic.fr a interrogé sur son site 411 internautes du 20 au 26 février 2013.