Certes, cette vidéo remonte à l’année dernière (printemps 2015), mais la joie de cette vieille dame, ancienne pilote de la Royal Air Force, mérite que l’on revienne sur cette information quelque peu datée. Durant la Seconde guerre mondiale, Joy Lofthouse, faisait partie de l’ATA* et était chargée de ramener les avions du front vers les ateliers de réparation.
Au printemps 2015, elle a pu revoler sur un ancien Spitfire. Harnachée de sa combinaison kaki et de son gros casque, la Britannique de 92 ans est remontée dans cet avion mythique pour un vol nettement plus paisible qu’à l’époque.
Comme elle l’indiquait juste avant de monter dans l’avion : « Je me sens toute excitée de remonter dans cet avion, même si je suis bien consciente de mon âge. J’espère que tout va bien se passer. Je ne suis plus aussi confiante de voler que quand j’étais jeune ! Le Spitfire est un avion magnifique, c’est une icône de l’aviation ».
Une fois dans le cockpit et dans les airs, elle a pu échanger avec le pilote et partager ses émotions « c’est difficile d’exprimer ce que je ressens » indique la nonagénaire manifestement heureuse. Rappelons que lorsqu’elle volait, il y a soixante-dix de cela, elle était seule dans le poste de pilotage et il n’y avait pas de radio ; elle n’avait que le bruit du moteur pour l’accompagner dans ses missions.
Précisons que 164 furent intégrée dans l’unité ATA (Air Transport Auxiliary).
Au printemps 2015, elle a pu revoler sur un ancien Spitfire. Harnachée de sa combinaison kaki et de son gros casque, la Britannique de 92 ans est remontée dans cet avion mythique pour un vol nettement plus paisible qu’à l’époque.
Comme elle l’indiquait juste avant de monter dans l’avion : « Je me sens toute excitée de remonter dans cet avion, même si je suis bien consciente de mon âge. J’espère que tout va bien se passer. Je ne suis plus aussi confiante de voler que quand j’étais jeune ! Le Spitfire est un avion magnifique, c’est une icône de l’aviation ».
Une fois dans le cockpit et dans les airs, elle a pu échanger avec le pilote et partager ses émotions « c’est difficile d’exprimer ce que je ressens » indique la nonagénaire manifestement heureuse. Rappelons que lorsqu’elle volait, il y a soixante-dix de cela, elle était seule dans le poste de pilotage et il n’y avait pas de radio ; elle n’avait que le bruit du moteur pour l’accompagner dans ses missions.
Précisons que 164 furent intégrée dans l’unité ATA (Air Transport Auxiliary).