A l’instar de la Golf, la Polo a grandi au fil des années au point d’être aujourd’hui plus grande que la Golf 1... Pour cette cinquième génération, c’est une véritable mini Golf qui est proposée avec une montée en gamme notoire et un enrichissement des équipements de série.
Quarante ans plus tard et 14 millions de modèles produits, la Polo est une citadine qui se porte bien.
Pour les quatre ans de cette dernière génération, Volkswagen lui offre une légère cure de jouvence esthétique mais surtout, lui apporte de réelles nouveautés techniques.
On retiendra notamment le nouveau trois cylindres turbodiesel ainsi qu’un châssis beaucoup plus performant. Quant à l’habitacle, il bénéficie également de quelques améliorations.
C’est donc sous le capot que l’on observe les nouveautés de cette Polo qui ont pour seul et unique but une réduction drastique de la consommation. Pour les moteurs essence, on a le choix entre deux 3 cylindres 1.0 MPI de 60 et 75 ch, un 4 cylindres 1,2 TSI de 90 et 110 ch et un 4 cylindres 1,4 TSI de 150 ch à désactivation de cylindres.
Pour les moteurs Diesel, on a un 3 cylindres 1,4 TDI que l’on trouve en trois puissances : 75, 90 et 105 ch. Les deux dernières versions pouvant être associées à une boîte automatique DSG7 à double embrayage. A l’usage, le 90 ch s’avère agréable en ville mais surtout il permet d’être également à l’aise sur les voies rapides et surtout de s’insérer avec facilité dans la circulation autoroutière.
Le seul reproche que l’on puisse lui faire concerne quelques vibrations à l’accélération. En revanche, il convient de souligner la frugalité de ce moteur qui ne dépasse pas les 4,7 litres /100km lors de notre parcours d’essai. Cela avec la boîte automatique DSG7. Quant au comportement de cette petite Polo, il reste tout à fait convaincant. On apprécie la direction électromécanique issue de la Golf qui est parfaitement homogène. Les sièges avant bien dessinés offrent un excellent maintien, en dépit d’un réglage en hauteur limité par rapport à la position du volant.
En option, on pourra également disposer d’un châssis à amortissement piloté issu de la Golf ou d’un régulateur de vitesses adaptatif. Un détecteur de fatigue et un système de freinage anti-multicollision font partie de l’équipement de série. La nouvelle Polo a décidemment rien à envier à sa grande sœur et surtout offre une meilleure image que la Ford Fiesta ou la Renault Clio. Sa seule véritable concurrente est la Mini mais dont l’aménagement intérieur clinquant ne résiste pas à la rigueur qualitative de l’allemande. Economique et particulièrement bien équipée, la Polo pourra également séduire les sportifs avec une version GTI de 192ch.
Joël Chassaing-Cuvillier
Quarante ans plus tard et 14 millions de modèles produits, la Polo est une citadine qui se porte bien.
Pour les quatre ans de cette dernière génération, Volkswagen lui offre une légère cure de jouvence esthétique mais surtout, lui apporte de réelles nouveautés techniques.
On retiendra notamment le nouveau trois cylindres turbodiesel ainsi qu’un châssis beaucoup plus performant. Quant à l’habitacle, il bénéficie également de quelques améliorations.
C’est donc sous le capot que l’on observe les nouveautés de cette Polo qui ont pour seul et unique but une réduction drastique de la consommation. Pour les moteurs essence, on a le choix entre deux 3 cylindres 1.0 MPI de 60 et 75 ch, un 4 cylindres 1,2 TSI de 90 et 110 ch et un 4 cylindres 1,4 TSI de 150 ch à désactivation de cylindres.
Pour les moteurs Diesel, on a un 3 cylindres 1,4 TDI que l’on trouve en trois puissances : 75, 90 et 105 ch. Les deux dernières versions pouvant être associées à une boîte automatique DSG7 à double embrayage. A l’usage, le 90 ch s’avère agréable en ville mais surtout il permet d’être également à l’aise sur les voies rapides et surtout de s’insérer avec facilité dans la circulation autoroutière.
Le seul reproche que l’on puisse lui faire concerne quelques vibrations à l’accélération. En revanche, il convient de souligner la frugalité de ce moteur qui ne dépasse pas les 4,7 litres /100km lors de notre parcours d’essai. Cela avec la boîte automatique DSG7. Quant au comportement de cette petite Polo, il reste tout à fait convaincant. On apprécie la direction électromécanique issue de la Golf qui est parfaitement homogène. Les sièges avant bien dessinés offrent un excellent maintien, en dépit d’un réglage en hauteur limité par rapport à la position du volant.
En option, on pourra également disposer d’un châssis à amortissement piloté issu de la Golf ou d’un régulateur de vitesses adaptatif. Un détecteur de fatigue et un système de freinage anti-multicollision font partie de l’équipement de série. La nouvelle Polo a décidemment rien à envier à sa grande sœur et surtout offre une meilleure image que la Ford Fiesta ou la Renault Clio. Sa seule véritable concurrente est la Mini mais dont l’aménagement intérieur clinquant ne résiste pas à la rigueur qualitative de l’allemande. Economique et particulièrement bien équipée, la Polo pourra également séduire les sportifs avec une version GTI de 192ch.
Joël Chassaing-Cuvillier
La Volkswagen Polo en chiffres :
Polo BlueMotion 1,4TDI
Moteur Diesel Turbo 3 cylindres en ligne – 1 422 cm3 – 90 ch à 3 500 tr/min – 230 Nm à 2500 tr/min
Boîte automatique DSG 7
Dimensions : 397,2 x 168,2 x 145,3 cm, empattement : 247 cm – Poids : 1157 kg
Pneumatiques 185/60 R15
Vitesse : 177 km/h – Accélération de 0 à 100 km/h : 11,9 s
Émissions de CO2 : 92 gr/km –
Prix : en 4 portes 21.500 euros
Moteur Diesel Turbo 3 cylindres en ligne – 1 422 cm3 – 90 ch à 3 500 tr/min – 230 Nm à 2500 tr/min
Boîte automatique DSG 7
Dimensions : 397,2 x 168,2 x 145,3 cm, empattement : 247 cm – Poids : 1157 kg
Pneumatiques 185/60 R15
Vitesse : 177 km/h – Accélération de 0 à 100 km/h : 11,9 s
Émissions de CO2 : 92 gr/km –
Prix : en 4 portes 21.500 euros
