Vivre au temps des pollutions avec... Bol d'Air

Pour vivre au temps des pollutions et espérer un vieillissement en bonne santé, il convient de tout faire pour favoriser l’assimilation de l’oxygène. Ce que propose le dispositif Bol d’air. Une méthode d’avenir, inspirée de la nature il y a… soixante-dix et qui nous concerne tous. Explications.





On le sait, la pollution atmosphérique est mauvaise pour nos fonctions respiratoires et cardiaques. Elle favorise par ailleurs les allergies, l’asthme et peut provoquer sur le long terme des problèmes au niveau des poumons, du cœur, des yeux ou de la gorge. Avec même des développements de cancers. Tout ceci est désormais assez bien connu par les scientifiques et les médecins.
 
Dans ce contexte et alors que les épisodes de pollutions sont de plus en plus récurrents en France mais également dans le monde (cf. la situation intenable de Beijing), il convient de limiter ces effets néfastes… Rappelons que l’air qui nous entoure contient environ 21% d’oxygène (H2O). Le rôle principal de cet oxygène est de nous donner de l’énergie.
 
Lorsque nous inspirons, l’oxygène pénètre jusqu’à nos alvéoles pulmonaires dont les parois sont tapissées de capillaires sanguins. Dans le sang, il se fixe sur l’hémoglobine des globules rouges, qui lui sert de transporteur jusqu’aux mitochondries, véritables centrales énergétiques des cellules. Il faut savoir qu’une cellule bien oxygénée a un potentiel énergétique 18 fois supérieur !
 
Quand l’organisme se trouve en sous-oxygénation, en hypoxie donc, on observe un déficit d’oxygène disponible dans les tissus. Or, il faut savoir que cette faculté d’assimilation de l’oxygène diminue avec l’âge et dans de nombreuses situations : pollution atmosphérique et tabagisme, maladie, stress, exercice physique intense…
 
Lorsque l’hypoxie perdure, la plupart des fonctions corporelles sont perturbées. La perte de vitalité ouvre ensuite la voie aux pathologies telles que troubles cardiaques et circulatoires, hépatites chroniques, athérosclérose, voire des maladies plus graves comme le cancer.
 
En 1946, René Jacquier a conçu la méthode d’Oxygénation Biocatalytique et fabriqué sont tout premier prototype Bol d’air. Mais c’est en 1989 que la société Holiste développe une nouvelle technologie pour une utilisation plus simple et sans danger, avec des résultats très rapides sur des séances plus courtes. En vingt ans d’évolution technologique, les appareils permettent aujourd’hui d’obtenir en 3 minutes seulement ce que les premières machines permettaient en 20 et 30 minutes.
 
Plus concrètement, cette méthode bien connue et qui a fait ses preuves favorise l’assimilation de l’oxygène. Elle permet donc d’améliorer la respiration cellulaire de façon simple, naturelle et peu contraignante, sans hyper oxygénation et sans risque radicalaire (le problème reste le prix de la machine à plus de 1650 euros, mais il est possible de l’utiliser dans certains spa ou stations thermlaes). Il ne s’agit pas d’inhaler plus d’oxygène, mais de permettre aux cellules de mieux récupérer l’oxygène circulant dans notre sang. Comment ? A l’aide des parties volatiles d'un extrait de résine de pin, Orésine, qui sont transformées pour devenir des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire.
 
Précisons que l’Orésine est issu de l'hydrodistillat de la résine de pin des landes Pinus Pinaster. Le liquide terpénique obtenu est une huile essentielle de térébenthine chémotypée, d’une qualité particulière, et ne saurait être confondu avec un produit industriel. Riche en alpha et beta pinènes, elle est utilisée en médecine et en cosmétique pour ses effets bénéfiques très connus : antiseptique, bactéricide, fongicide, anti carcinogène, antiparasitaire…

Article publié le 20/04/2017 à 01:00 | Lu 1621 fois