« Les lunettes Eyejusters sont le fruit de cinq années de recherche. Notre moteur a été d’offrir au plus grand nombre la possibilité de voir mieux de près en toute circonstance. (…) Notre ambition est grande : offrir une nouvelle vision au monde » indique Owen Reading co-fondateur d’Eyejusters, société anglaise installée à Oxford.
Le fait est que de nos jours, de nombreuses solutions existent contre la presbytie, comme les lunettes loupe ou encore, les verres progressifs. Mais in fine, tous ces produits sont contraignants et pas toujours parfaitement adaptés à nos besoins : limitation au niveau du champ de vision, port de plusieurs paires de lunettes, changement de verres avec l’évolution de la vue, etc.
L’idée de cette start-up anglaise est donc de proposer à ses clients de régler eux-mêmes leur vision pour voir les moindres détails de près en fonction de la distance ou de l’activité pratiquée. Pour ce faire, cette nouveauté intègre la technologie SlideLens qui consiste en un système de deux lentilles superposées glissant l’une sur l’autre pour modifier la focalisation du verre de +0 à +3 dioptrie, et cela en actionnant manuellement une molette située à l’arrière de chaque verre ! Précisons que chaque « œil » est réglable individuellement.
Ainsi, en tournant une simple molette, chacun a le pouvoir d’ajuster sa vision de près pour profiter pleinement de ses activités au quotidien : lecture, modélisme, écrans, tablettes, jardinage, etc. Et ce avec une seule paire de lunettes ! Ces verres sont proposés dans une large gamme de paires de lunettes en acier, acétate, acétate multicouches ou bimatières. Les montures sont disponibles en deux tailles. A partir de 89 euros (garantie de six mois), sans prescription médicale.
La presbytie est une évolution naturelle de la vision qui touche chacun d’entre nous vers l’âge de 45 ans et qui se stabilise vers 60-65 ans. Elle se traduit par une difficulté à voir de près. Plus concrètement, cela provient d’une perte de souplesse du cristallin, partie de l’œil qui joue le rôle de lentille, qui se bombe insuffisamment et accommode difficilement, comme l’autofocus d’un appareil photo qui n’assurerait plus la mise au point. On estime qu’il y a actuellement en France, vingt millions de presbytes dont 700 000 nouveaux cas chaque année compte-tenu du vieillissement de la population.
Le fait est que de nos jours, de nombreuses solutions existent contre la presbytie, comme les lunettes loupe ou encore, les verres progressifs. Mais in fine, tous ces produits sont contraignants et pas toujours parfaitement adaptés à nos besoins : limitation au niveau du champ de vision, port de plusieurs paires de lunettes, changement de verres avec l’évolution de la vue, etc.
L’idée de cette start-up anglaise est donc de proposer à ses clients de régler eux-mêmes leur vision pour voir les moindres détails de près en fonction de la distance ou de l’activité pratiquée. Pour ce faire, cette nouveauté intègre la technologie SlideLens qui consiste en un système de deux lentilles superposées glissant l’une sur l’autre pour modifier la focalisation du verre de +0 à +3 dioptrie, et cela en actionnant manuellement une molette située à l’arrière de chaque verre ! Précisons que chaque « œil » est réglable individuellement.
Ainsi, en tournant une simple molette, chacun a le pouvoir d’ajuster sa vision de près pour profiter pleinement de ses activités au quotidien : lecture, modélisme, écrans, tablettes, jardinage, etc. Et ce avec une seule paire de lunettes ! Ces verres sont proposés dans une large gamme de paires de lunettes en acier, acétate, acétate multicouches ou bimatières. Les montures sont disponibles en deux tailles. A partir de 89 euros (garantie de six mois), sans prescription médicale.
La presbytie est une évolution naturelle de la vision qui touche chacun d’entre nous vers l’âge de 45 ans et qui se stabilise vers 60-65 ans. Elle se traduit par une difficulté à voir de près. Plus concrètement, cela provient d’une perte de souplesse du cristallin, partie de l’œil qui joue le rôle de lentille, qui se bombe insuffisamment et accommode difficilement, comme l’autofocus d’un appareil photo qui n’assurerait plus la mise au point. On estime qu’il y a actuellement en France, vingt millions de presbytes dont 700 000 nouveaux cas chaque année compte-tenu du vieillissement de la population.
