De nos jours, les livres traitant des questions du vieillissement des populations sont nombreux. Il en sort pratiquement un par semaine… En revanche, dès qu’il s’agit de changer nos comportements vis-à-vis des anciens ou de la mise en place de politiques concrètes (transport ou adaptation de l’habitat par exemple) permettant d’aider les personnes âgées, la France est à la ramasse… Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir inventé le concept de « silver économie » ! Merci monsieur Montebourg !
Mais la réalité est tout autre et une fois encore, la France est à la traine. C’est d’ailleurs ce que déplorent ces deux auteurs. Comme le souligne l’éditeur dans son communiqué : « la France n’est pas à l’avant-garde sur les questions du vieillissement. Nos décideurs ont du mal à changer leur vision et ils continuent à raisonner selon les mêmes schémas très orientés sur le soin alors même que la majorité des seniors ne sont pas ou faiblement dépendants ».
Et de poursuivre : « la loi sur l’Adaptation de la Société au Vieillissement aurait pu être plus ambitieuse mais elle représente tout de même une grande avancée. Pourtant, elle est passée inaperçue par manque d’intérêt des médias dont le sujet effraie la plupart des responsables éditoriaux. Notre société renvoie sans cesse une image négative : l’âgisme constitue le troisième type de discrimination après le racisme et le sexisme. »
« Si le vieillissement de la population est à la fois une problématique et une chance pour les collectivités, posons-nous les bonnes questions sur la réelle capacité d’actions des communes, l’approche du tourisme et du développement économique en général. Ne laissons pas nos campagnes disparaître avec leurs derniers vieux résidents. L’aménagement du territoire et la Silver économie offrent des solutions, à condition que nous changions notre vision et nos méthodes » conclut l’éditeur.
Voici un ouvrage qui s’adresse plutôt aux professionnels, mais qui intéressera également tous les lecteurs et décideurs qui s’interrogent sur les questions liées aux vieillissements des populations. Un sujet important à quelques mois des prochaines élections présidentielles, surtout que les seniors sont des électeurs assidus aux urnes et que la plupart des hommes et femmes politiques sont d’ores et déjà en âge d’être directement concernés par ces questions. Mais le vieux, c’est toujours l’autre. .
Mais la réalité est tout autre et une fois encore, la France est à la traine. C’est d’ailleurs ce que déplorent ces deux auteurs. Comme le souligne l’éditeur dans son communiqué : « la France n’est pas à l’avant-garde sur les questions du vieillissement. Nos décideurs ont du mal à changer leur vision et ils continuent à raisonner selon les mêmes schémas très orientés sur le soin alors même que la majorité des seniors ne sont pas ou faiblement dépendants ».
Et de poursuivre : « la loi sur l’Adaptation de la Société au Vieillissement aurait pu être plus ambitieuse mais elle représente tout de même une grande avancée. Pourtant, elle est passée inaperçue par manque d’intérêt des médias dont le sujet effraie la plupart des responsables éditoriaux. Notre société renvoie sans cesse une image négative : l’âgisme constitue le troisième type de discrimination après le racisme et le sexisme. »
« Si le vieillissement de la population est à la fois une problématique et une chance pour les collectivités, posons-nous les bonnes questions sur la réelle capacité d’actions des communes, l’approche du tourisme et du développement économique en général. Ne laissons pas nos campagnes disparaître avec leurs derniers vieux résidents. L’aménagement du territoire et la Silver économie offrent des solutions, à condition que nous changions notre vision et nos méthodes » conclut l’éditeur.
Voici un ouvrage qui s’adresse plutôt aux professionnels, mais qui intéressera également tous les lecteurs et décideurs qui s’interrogent sur les questions liées aux vieillissements des populations. Un sujet important à quelques mois des prochaines élections présidentielles, surtout que les seniors sont des électeurs assidus aux urnes et que la plupart des hommes et femmes politiques sont d’ores et déjà en âge d’être directement concernés par ces questions. Mais le vieux, c’est toujours l’autre. .
