La crise a annulé des années de progrès économique et social en France et en Europe ; elle a révélé les faiblesses structurelles de l’économie européenne… Les défis à long terme, comme la mondialisation, la pression sur les capacités de production et d’exportation s’intensifient… C’est maintenant que l’Union Européenne doit prendre son avenir en main*
Alors que les pays européens cherchent de nouveaux relais de croissance, l’économie du vieillissement par la diversité des acteurs qu’elle fédère, la complémentarité des financements (publics, privés, collectifs et individuels…), et la stabilité des fondamentaux (démographie, revenus, taux d’épargne…) constitue, en France comme en Europe, un des écosystèmes les plus prometteurs en termes de création de richesses et d'emplois durable.
Elle impacte d’ailleurs toutes les sphères d’activité (Rapport du CAE Conseil d’Analyse Economique la France dans 15 ans, publié en 2008).
En outre, émerge au niveau de l’individu comme de la société toute entière, une aspiration nouvelle au développement durable, c’est-à-dire la capacité à organiser à tous les âges de la vie, à son niveau, de manière optimale en fonction des ressources individuelles et collectives disponibles sa qualité de vie. C’est pourquoi, la thématique du vieillissement doit être abordée de façon transversale, et en partie prospective, au-delà des approches habituelles.
L’ambition des organisateurs du Forum des 19 et 20 novembre 2012 au Palais d’Iéna à Paris est de contribuer à la construction de nouveaux schémas de réflexion autour du vieillissement massif de la population (en identifiant les enjeux, diffusant les chiffres et faits, organisant un point d’avancement, en valorisant le vieillissement comme source de croissance et d’emplois pour la France et l’Europe…).
La France notamment ne pourra pas faire l’économie au niveau politique d’un large débat entre experts puis avec la société civile sur la stratégie globale à suivre d’ici 2020 en matière de vieillissement. Ce débat devrait logiquement conduire au vote d’une loi-cadre.
De manière très concrète, les organisateurs souhaitent également mettre en exergue des actions, et des objectifs chiffrés à horizon cinq ans, avec un impact immédiat sur la qualité de vie des Français concernés.
Alors que les pays européens cherchent de nouveaux relais de croissance, l’économie du vieillissement par la diversité des acteurs qu’elle fédère, la complémentarité des financements (publics, privés, collectifs et individuels…), et la stabilité des fondamentaux (démographie, revenus, taux d’épargne…) constitue, en France comme en Europe, un des écosystèmes les plus prometteurs en termes de création de richesses et d'emplois durable.
Elle impacte d’ailleurs toutes les sphères d’activité (Rapport du CAE Conseil d’Analyse Economique la France dans 15 ans, publié en 2008).
En outre, émerge au niveau de l’individu comme de la société toute entière, une aspiration nouvelle au développement durable, c’est-à-dire la capacité à organiser à tous les âges de la vie, à son niveau, de manière optimale en fonction des ressources individuelles et collectives disponibles sa qualité de vie. C’est pourquoi, la thématique du vieillissement doit être abordée de façon transversale, et en partie prospective, au-delà des approches habituelles.
L’ambition des organisateurs du Forum des 19 et 20 novembre 2012 au Palais d’Iéna à Paris est de contribuer à la construction de nouveaux schémas de réflexion autour du vieillissement massif de la population (en identifiant les enjeux, diffusant les chiffres et faits, organisant un point d’avancement, en valorisant le vieillissement comme source de croissance et d’emplois pour la France et l’Europe…).
La France notamment ne pourra pas faire l’économie au niveau politique d’un large débat entre experts puis avec la société civile sur la stratégie globale à suivre d’ici 2020 en matière de vieillissement. Ce débat devrait logiquement conduire au vote d’une loi-cadre.
De manière très concrète, les organisateurs souhaitent également mettre en exergue des actions, et des objectifs chiffrés à horizon cinq ans, avec un impact immédiat sur la qualité de vie des Français concernés.
