Croiseurope : une belle croisière de Belgrade à l’embouchure du Danube sur la mer Noire

Un millier de kilomètres sur le Danube de Belgrade à la mer Noire en passant par Vidin, Roussé, Giurgiu et Tulcéa. Trois pays en tout. Vous parcourez en une semaine plus du tiers de la longueur totale de ce fleuve mythique sur le MS Vivalvi, un bateau confortable à l’équipage chaleureux… Voici ce que vous propose Croiseurope, spécialiste de la croisière fluviale et maritime. Vous êtes prêts ? Alors embarquement !





Croiseurope : une belle croisière de Belgrade à l’embouchure du Danube sur la mer Noire
Généralement, on connait le Danube sur sa partie la plus fréquentée : celle qui se trouve entre Linz en Autriche et Budapest en Hongrie.

Certes, cette portion est ponctuée de villes splendides qui toutes, méritent un long et large détour… C’est d’ailleurs le parcours le plus souvent proposé par les croisiéristes.

Mais c’est oublier un peu vite un bon tiers de ce fleuve mythique ! Le millier de kilomètres qui s’écoule de Belgrade en Serbie à l’embouchure du Danube en Roumanie. C’est justement ce parcours que Croisieurope souhaite faire découvrir à ses passagers le temps d’une semaine.

Une somptueuse promenade encore largement méconnue du grand public, mais qui dégage un charme slave et balkanique incontestable… Et inoubliable.

Vue du MS Vilvadi sur la Save à Belgrade
Cette belle croisière s’effectue sur le MS Vivaldi, l’un des plus récents navires de la flotte Croisieurope. Un bateau de 110 mètres de long qui peut accueillir près de 180 passagers sur ses deux ponts habitables.

Vous y trouverez tout le confort : des chambres spacieuses (pour un bateau), une grande salle de restaurant, deux bars, un salon de danse, un pont soleil et deux belles terrasses ambiance lounge (l’une à l’avant ; l’autre à l’arrière).

Côté restauration : rien à redire. Les plats sont imposés mais délicieux. Chaque jour, le menu est différent. Avec toujours, entrée, plat et dessert. Les petits-déjeuners sont généreux et les viennoiseries toujours fraiches du matin !

Côté animation : Noemi, Alcina et leurs équipes font tout pour vous divertir. Dans la joie et la bonne humeur. Danses, jeux, énigmes, chansons, spectacles… Avec à la clef, d’exquis cocktails à gagner, préparés par la jolie Rita et ses consoeurs…

Les chambres sont pratiques et bien optimisées. Pensez tout de même à prendre avec vous votre nécessaire de toilette. En effet, seul le savon liquide est fourni dans la salle-de-bains (avec les serviettes, bien évidemment !). Unique petit bémol, le bateau n’est pas équipé d’Internet. Et les bornes wi-fi disponibles sur le parcours sont relativement rares. Toutefois, vous pouvez demander à l’équipage qui connait parfaitement tous les « spots » où le web fonctionne…

Premier jour : Belgrade (Serbie)

Croiseurope : une belle croisière de Belgrade à l’embouchure du Danube sur la mer Noire
Dès l’arrivée à l’aéroport de Belgrade (la ville blanche, ancienne capitale de la Yougoslavie), un bus vous embarque pour une visite de la capitale serbe avant même de vous rendre au bateau.

Après un tour de ville en autocar -où vous croisez encore quelques édifices partiellement détruits par les forces de l’OTAN-, vous avez quartier-libre pendant 2h30 environ.

Profitez-en pour arpenter Knez Milhailova, la célèbre rue piétonne où les panneaux en cyrillique alternent avec ceux en alphabet latin. Côté shopping, pas grand-chose à s’offrir. Par contre, n’hésitez pas à vous reposer à l’une des nombreuses terrasses qui sont installées tout au long de cette artère commerçante écrasée de chaleur en cette saison ; la température peut atteindre les 40 degrés en été.

Après cette découverte de Belgrade, vous rejoignez le bateau. Exploitez le temps qu’il vous reste après votre installation pour repartir en vadrouille et découvrir la splendide forteresse de Kalemegdan qui domine la Save et le Danube. Une belle balade de fin d’après-midi. Le bateau quitte Belgrade (Beograd) à 23h00 pour une nuit de croisière…

Deuxième jour : les Porte de fer et Vidin

Sculpture du roi Décébal taillée dans la pierre blanche de la falaise
Réveil aux aurores avec les premiers rayons de soleil. Et heureusement, car la matinée démarre fort !

Le fleuve, très large depuis Belgrade, se rétrécit peu à peu. Vers 8h30 du matin, vous atteignez l’un des lieux les plus célèbres du Danube ; un point situé entre les Carpates et les Balkans ; entre la Roumanie et la Serbie : les célèbres Chaudières et les fameuses Portes de fer (Portile de fier). Pendant une bonne heure, le MS Vivaldi traverse cet étroit chenal bordé de deux côtés par des falaises de 150 mètres de hauteur…

Ce défilé fut surnommé les Chaudières par les navigateurs car à l’époque, l’eau serrée entre les murs montagneux et abrupts semblaient bouillonner. Un phénomène qui malheureusement, n’existe plus aujourd’hui... Précisons qu’à cet endroit, le fleuve peut atteindre 150 mètres de profondeur ! Le commandant Cousteau y a effectué des recherches, mais ces eaux sont très dangereuses compte-tenu des forts courants…

Juste après les Portes de fer, à bâbord, côté roumain, vous pouvez admirer la magistrale sculpture du roi Décébal taillée dans la pierre blanche de la falaise. Le reste de l’après-midi est dédié à la navigation et au farniente. Vous pouvez tranquillement admirer la Roumanie à bâbord et la Serbie à tribord sur une bonne partie du chemin en sirotant un cocktail sur le pont soleil avant d’arriver à Vidin, en Bulgarie, en fin de journée…

Il est alors temps d’avancer vos montres d’une heure. Soirée libre après le diner. Le centre-ville –qui a relativement peu d’intérêt- est situé à la sortie du débarcadère. Quelques bars longent les quais. Certains acceptent les euros. Petite précaution en été : les rives sont infestées de moustiques ! N’ouvrez pas vos fenêtres et enduisez-vous de répulsif avant de mettre un pied à terre !

Troisième jour : Vidin / Belogradcik / Roussé

Belogradcik : les roches rouges
Nouveau réveil matinal... Dehors, il fait déjà chaud. Les autocars patientent. Le départ pour Belogradcik est prévu à 8h30. Cette petite ville bulgare est située à une cinquantaine de kilomètres au sud de Vidin.

Compter une bonne heure de route pour parvenir à cet étonnant site archéologique. Après avoir traversé un village tzigane, les bus poursuivent leur route en pleine campagne. La région est très verte, vallonnée, aucune maison n’est visible pendant des kilomètres. Puis la route commence à grimper, à serpenter. Et le village de Belogradcik apparait d’un coup, au détour d’un virage.

La balade vaut le détour : vous découvrirez au sommet de la colline d’étranges rochers rouges émergeant de la forêt. Toutefois, la visite du site est peu recommandée aux personnes sujettes au vertige ou trop âgées. Sachez également qu’il y a beaucoup d’escaliers pas toujours évidents à négocier.

Autre programme possible : la visite du château de Baba Vida, le seul château bulgare datant d’avant la conquête ottomane et entièrement conservé, dans lequel vous assistez à un concert de musique classique.

Retour au bateau pour l’heure du déjeuner et après-midi de navigation et d’animation jusqu’à Roussé (Ruse en bulgare). Le bateau file sur le Danube, une petite brise permet de supporter la chaleur. Par endroit, les eaux du fleuve sont si calmes qu’elles renvoient l’image de la nature qui l’entoure à la perfection. Etonnant effet miroir.

Sur les rives, quelques voitures sont garées à même le sable, sur la berge ; une famille prend le soleil après avoir pique-niqué. De temps à autres, effet surréaliste, un bouquet d’arbres semble pousser au beau milieu du Danube, formant des mini-îles et divisant le fleuve en deux sur quelques dizaines mètres.

4ème jour : Roussé / Bucarest

Roussé
Cette journée de mi-parcours alterne entre la Bulgarie et la Roumanie. D’une rive à l’autre entre Roussé et Giurgiu. Deux villes qui se font face.

Le matin, visite d’un monastère perché en haut d’une falaise puis découverte de la ville de Roussé dans la foulée.

Une cité quelque peu défraichie, désuète mais au charme indéniable : de grands immeubles aux allures martiales permettant d’accueillir des armées de fonctionnaires, alternent avec de jolis bâtiments de deux ou trois étages aux façades colorées de rose, de vert, de rouge ou de jaune. Il y règne une atmosphère multiethnique –Roussé ayant appartenu à la Roumanie au cours de son histoire-, vintage et paisible.

Retour à bord en fin de matinée. Départ du bateau qui atteint Giurgiu en Roumanie quelques dizaines de minutes plus tard, le temps d’un déjeuner… L’après-midi est réservée à la visite de Bucarest, la capitale roumaine, située à une heure de route au nord de Giurgiu.

Croiseurope : une belle croisière de Belgrade à l’embouchure du Danube sur la mer Noire

Bucarest
On connait généralement Vienne, Prague et Budapest.

On sait –en principe- que Bucarest est la capitale de la Roumanie, on sait également que Ceausescu a été exécuté le 25 décembre 89 et que le pays fait partie de l’Europe depuis 2007.

Mais on connait relativement mal cette capitale que l’on imagine… Que l’on n’imagine pas… tout simplement !

Pourtant, cette grande ville est belle et majestueuse. Dans les années 30, Bucarest, à l’instar de Shanghai d’ailleurs, a été surnommée « le Petit Paris » à cause de ses longs boulevards jalonnés d’arbres. Aujourd’hui encore, Bucarest n’a pas à rougir de ses cousines situées plus à l’ouest, en amont du fleuve.

La visite démarre par le célèbre Palais du Parlement, un gigantesque et délirant bâtiment –le plus grand immeuble administratif au monde- dont la construction fut initiée par Ceausescu. Puis Ana-Maria, la jeune guide qui parle un français impeccable, nous dirige vers le monastère Patriarhie.

La découverte de la ville se poursuit ensuite dans le musée du Village, situé dans le parc de la Cité-Jardin. Ce musée en plein air est composé de 300 bâtiments (maisons, fermes, églises, etc.) typiques du pays qui ont été reconstruits en plein centre de la capitale. De nombreux marchands proposent des produits régionaux au cœur même de ce parc. Un peu plus cher qu’ailleurs, mais un bon moyen de regrouper ses achats de souvenirs au même endroit. D’autant que la plupart des échoppes acceptent les euros.

S’il vous reste un peu de temps, dirigez vos pas vers le centre-ville historique, vers le cœur médiéval de la ville. Ne pas manquer l'église Stavropoleos et la belle auberge de Manuc. Retour à bord à Giurgiu en fin d’après-midi. Diner à bord, escale de nuit.

5ème jour : Monastère de Sinaia et château de Bran

Monastère Sinaia
Nous retrouvons notre jeune accompagnatrice qui va nous escorter tout au long de cette longue journée riche en découvertes.

Il convient d’ailleurs de souligner le professionnalisme de tous les guides roumains (Ana-Maria, Andreea et Anda).

Toutes ces jeunes femmes nées lorsque la révolution a éclaté sont d’une étonnante maturité, d’un professionnalisme sans faille et affichent une connaissance et une analyse de l’histoire de leur pays aussi vaste que pertinente. Chapeau mesdemoiselles.

Le départ vers les Carpates s’effectue aux premières heures du jour. C’est parti pour la traversée de la Roumanie sur un axe sud-nord. Direction Brasov. Pendant des kilomètres et des kilomètres après Bucarest, nous croisons des champs de tournesols et de maïs. La route est longue pour parvenir au centre du pays mais le voyage vaut le coup d’œil…

Puis imperceptiblement, le décor commence à changer. Par petites touches. Les vastes étendues planes laissent place à des collines qui peu à peu se transforment en montagnes. Les pins remplacent les céréales. L’architecture des maisons change. Les toits sont plus hauts, deviennent plus pointus, pour faciliter l’écoulement des eaux et de la neige en hiver.

Ce long parcours en autocar permet déjà de se faire une petite idée du pays. Il faut simplement essayer d’oublier la conduite « testostéronée » de notre chauffeur. Le centre de la Roumanie affiche un petit air de Suisse. Puis au détour d’un virage, à 1.200 mètres d’altitude, apparait enfin notre première destination : le monastère de Sinaia perché dans la vallée de la Prahova, caché au coeur de la nature. Bâti au XVII siècle en hommage au couvent Sainte-Catherine du Mont Sinai, il est composé de deux églises et des moines y vivent encore aujourd’hui.

Monastère Sinaia (détail)
Après un rapide déjeuner dans un hôtel, le car repart vers le nord, vers Brasov pour un après-midi consacré à la visite du château de Bran. Le château de Vlad III, dit Vlad l’empaleur. Prince qui inspira le personnage de Dracula tant sa cruauté était légendaire…

On raconte qu’il aimait prendre un repas en regardant ses victimes hurler sous la torture. En 1460, il fit empaler 1.200 Saxons de Brasov qui refusaient de se soumettre à ses lois sur la sécurité du commerce.

Retour à bord et départ du bateau en direction de Cernavoda/Fetesti. Diner et soirée animé à bord. Navigation de nuit.

6ème jour : Cernavoda et Constanta

Château de Bran
Le bateau arrive dans la matinée à Cernavoda. Au programme de cette journée : une visite de Constanta (prononcer Constantza) le matin et celle d’un vignoble l’après-midi. En chemin, juste à la sortie du port, vous pouvez apercevoir sur votre gauche la seule centrale nucléaire de Roumanie construite par les Canadiens dans les années 80. Elle produit à elle seule 18% de l’électricité du pays.

La ville de Constanta (560.000 habitants), située complètement à l’est du pays, se trouve à une heure et demie de route du bateau. C’est le port le plus important de la Mer Noire. La découverte démarre par le musée d’Histoire et d’Archéologie. Deux pièces maitresses à ne pas manquer : le serpent Glykon (taillée dans un seul bloc de marbre) et la statue de la déesse Fortuna. Ces deux sculptures font partie d’un ensemble d’œuvres découvertes en 1962 lors de la construction de la gare de Constanta.

Le casino de Constanta
En sortant du musée, sur la droite, vous pouvez admirer une superbe mosaïque romaine polychrome de 800m2. Un peu plus loin se trouvent la grande mosquée Mahmudiye avec son minaret de 50 mètres de haut et la cathédrale orthodoxe Saint Pierre et Saint Paul (19ème).

Mais le « clou du spectacle » est incontestablement le fameux Casino de Constanta. Un superbe édifice construit en 1910 sur l’esplanade qui longe la Mer Noire. Ce très beau bâtiment art-déco fut commandé par la reine Elisabeta, épouse du roi Carol 1er. En très mauvais état, des travaux devraient être lancés dans les prochains mois pour rendre tout son lustre à cette magnifique construction, symbole de la « Constanta station thermale », très à la mode au début du 20ème siècle. Une petite crique située au pied du casino permet de tremper ses pieds dans la Mer Noire.

Après un déjeuner dans un restaurant local avec spectacle de danse folklorique, la visite se poursuit dans l’après-midi vers Murfatlar où sont produits les meilleurs vins de Roumanie. Ce domaine vinicole de plus de 4.000 ha est le plus grand d’Europe. Retour à bord en fin de journée et départ vers Sulina. Diner et soirée de gala.

Un trio de choc sur le MV Vivaldi

7ème jour Sulina et le Delta du Danube

Le delta du Danube
Durant la matinée, le navire file plein est. Vers la ville de Sulina, qui marque l’embouchure du Danube…

A cette heure matinale, le soleil offre aux rives du fleuve des reflets d’or. Vers 9h, le capitaine donne deux coups de sirène qui symbolisent le passage du Danube à la Mer Noire. Le fameux kilomètre 0. Cette frontière invisible, virtuellement marquée par un petit phare blanc surmonté d’un fait rouge. A son pied, une minuscule pancarte affiche un zéro noir sur fond blanc.

La mer commence là. Le fleuve s’arrête ici. A 2.850 kilomètres de sa source… D’un coup, la mise en marche des hélices d’étrave fait vibrer le bateau. Le métal grogne, se renfrogne. Puis le calme revient, le MS Vivaldi a effectué un large demi-tour. Il repart maintenant vers l’ouest…

Vers 11h30, le bateau arrive à Crisan. Toute l’après-midi est consacrée à une excursion (3h) sur le delta du Danube. La guide, la ravissante Anda, nous accompagne au cours de cette « mini-croisière » sur quelques-uns des nombreux bras de cette immense réserve naturelle, de cet écosystème vulnérable qui attire chaque année des millions d’oiseaux dont le pélican rose et le pélican blanc et abrite une cinquantaine d’espèces de poissons d’eau douce.

Le delta du Danube est la troisième zone humide d’Europe. Quinze mille personnes (dont 2.000 Lipovènes – le peuple du delta) habitent dans des villages où les petites maisons sont dotées de toits en roseaux. La plupart vivent de leur pêche, et de plus en plus, du tourisme. Retour à bord en fin de journée puis continuation de la navigation en direction de Tulcea. Diner en croisière suivi d’une soirée de danses folkloriques.

8ème jour… La croisière se termine, votre avion vous attend à Constanta.

Danube : le Km 0
Comme toujours sur un bateau, la notion de temps s’est transformée, s’est tordue, s’est distendue puis s’est comprimée. Ces sept jours bien remplis semblent avoir duré le temps d’un éclair, d’un claquement de doigt. Un temps hors du temps, coincé entre deux coups de sirènes.

Quitter un bateau est toujours un moment plein de tristesse… Une tristesse passagère qui va petit à petit se transformer en souvenirs, en flashs mémoriels, en émotions qui reviendront vous titiller, de jour comme de nuit, à n’importe quel moment de la journée. Une image, un son, une odeur. Des réminiscences qui vont susciter en vous l’envie de repartir. Encore.

Le Danube en quelques mots...

Le MS Vivaldi
Le Danube fait incontestablement partie des fleuves mythiques. En Europe, c’est le deuxième fleuve le plus long (2.850 km) après la Volga.

Il prend sa source en Allemagne, dans la forêt noire, au confluent de deux torrents de montagne : la Breg et la Brigach. Le Danube traverse ensuite neuf pays : l’Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Croatie, la Serbie, la Roumanie (29%), la Bulgarie, la Moldavie et enfin l’Ukraine.

Le MS Vivaldi

Ce bateau fluvial a été inauguré en avril 2010. Long de 110 mètres de long (tirant d’eau de 1,5 mètre), il peut accueillir sur ses quatre ponts (dont le pont soleil) 176 passagers pour 35 membres d’équipage. Sa vitesse de croisière moyenne est de 20 km. Pour la petite histoire, en 2009, le MS Vivaldi fut le tout premier bateau fluvial en Europe à être équipé d’une station d’épuration d’eau. A noter également que ce bateau ne représente pratiquement aucune pollution pour le fleuve…

Croiseurope : une belle croisière de Belgrade à l’embouchure du Danube sur la mer Noire
CroisiEurope
12 rue de la Division Leclerc
67000 Strasbourg
Tél numéro Indigo : 0 825 333 777
Site Internet CroisiEurope

A partir de 1.409 euros pour juillet/aout 2012 avec transport (ajouter env. 200 euros pour les excursions).

Formalités : Carte nationale d'identité ou passeport en cours de validité obligatoire. Les ressortissants hors UE sont priés de consulter leur ambassade ou leur consulat.

Sachez qu’il est également possible de démarrer cette croisière à Passau, plus en amont sur le fleuve et d’effectuer une traversée, plus longue et plus complète en passant par Bratislava, Vienne et Budapest. Sur douze jours.

Article publié le 11/07/2012 à 16:42 | Lu 5945 fois